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C O N T R A S T E
BL | slide of life | 200x400
LIFELAM...Quel nom étrange pour une ville occidentale ! Nous sommes nous trompés d'endroit ? Mon GPS a-t-il un problème ? Détrompez-vous, vous êtes exactement là où vous souhaitez être... Gare où vous mettez les pieds et avec qui vous vous liez d'amitié. Votre existence sur cette île pourrait être lumineuse et heureuse comme beaucoup plus sombre et dramatique..."
V O T
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Hugo Romanovski
Le Beau-de-l’air de Lifelam - Juin 2021
Lun 27 Juil - 22:59
- Je ne connais pas cet homme… et vous aviez du sang sur les mains, le mouchoir, c’était pour ça…

Le jeune homme avait fini par se retourner en entendant le vieil homme parler - appelons le comme ça, de toute manière il avait toujours été nul pour déduire l'âge des gens qu'il croisait, en plus de n'en avoir rien à foutre -. Lâchant un petit reniflement dédaigneux, il secoua la tête à la manière d'un chien qui s'ébroue après avoir fait trempette, à la fois frustré d'avoir vu l'autre connard de pervers s'enfuir qu'agacé face au comportement de l'autre.
Hugo n'était pas quelqu'un de foncièrement méchant mais son adaptation sociale était vraiment très réduire. Il se méfiait de tout et de tout le monde, restait constamment sur ses gardes. Alors quelqu'un de gentil sans raison avec lui, il y avait de quoi se poser des questions. Visant le mouchoir à côté de Pearly qui le reniflait doucement, le garçon travailla sur lui-même en tentant de prendre de grande inspiration lente pour se calmer.
Inspirer.
Expirer.
Inspirer.
Et ainsi de suite.

Finalement, il ramassa l'objet du bout des doigts, hésitant en contemplant le tissu immaculé. Lentement, il s'essuya les mains avec pour en débarrasser les coulures, avant de le froisser pour le fourrer dans sa poche. Il marqua également une profonde inspiration suivit d'un temps d'arrêt avant d'ouvrir la bouche :

- Mer...

Une voix, non deux, le coupèrent, le faisant sursauter et brusquement tourner la tête. Deux garçons qu'il nec connaissait pas s'approcher à toute vitesse, faisant tourner son sang en une demi seconde. D'un bond, le tout jeune adulte s'éloigna d'un pas si rapide qu'on aurait dit une course, suivit par sa chienne, le laissant rejoindre un coin couvert de rochers contre lesquels il s'appuya. Caché dans le noir, Hugo posa son front contre le gros caillou, mais ses nerfs à fleur de peau n'eurent d'autre choix que d'envoyer ses phalanges décimer sa propre chair contre le granit.


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Hugo Romanovski
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Lun 27 Juil - 23:09
Tient il avait juré entendre le maître shiba parler... Liam eut le sentiment de raté quelque chose d'important. Il regarda l'homme s'éloigner rapidement.
Liam tourna la tête à l’entente de son nom, tombant nez à nez avec deux jeunes blonds. L’un qu’il connaissait du second qui n’était autre que son étudiant, Màel.

Il s’efforça de sourire poliment et les salua à son tour. Oui, il était venu profiter de la fête même si pour l’instant c’était plutôt elle qui profitait du pauvre autrichien.
Il baissa les yeux pour entreprendre de se lever et remarqua que son mouchoir avait disparu... Un petit sourire illumina son visage. Il se releva, mais au même moment, jouant non loin de là, un groupe d’enfant lui envoya une vague de sable le recouvrant subitement.

Oh moins si cela n’avait pas été clair, là il était sur de rentrer pour se changer, car on lui avait successivement, uriné dessus, poussé, deux fois, il était rester assez dans la houle de la mer à prendre en pleine face les vagues, mouillant allègrement la moitié de son corps et le voilà à présent couvert de sable de la tête au pied.

-Ce n’est pas tant le punch qui m’inquiète Monsieur Levy ahah.

Oui, il arrivait encore un peu en rire, car décidément, tout semblait se liguer contre lui. Voilà un combat qu’il ne devait pas mener. Il avait perdu face à la grande fête organisé par la ville. Tant pis, ça sera pour une autre fois.

Il salua gentiment, le petit danseur et son ami, leur souhaitant de bien s’amuser, tandis qu’avec l’aide de sa canne, il tentait de quitter la plage.

Le professeur faisait de son mieux pour être discret, mais son état était misérable et beaucoup se retournait sur son passage s’interrogeant sur son accoutrement.
Liam regagna vite le chemin de la ville, mais à son plus grand malheur, il vit Griffin ! L’homme qui occupait toutes ses pensées, jour et nuit. Celui pour qui il s’efforçait d’être charmant et toujours sexy, attirant… impossible que le brun le voit dans cet état ! JAMAIS ! Il en mourait ! Il en mourait de honte !!

Il devait à tout prix se cacher, l’esquiver, priant qu’il ne regarde pas dans sa direction.
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Alexander Bane
Préposé aux top-sites
Mar 28 Juil - 17:37
Et hop, un rapide check pour Jace et un grand sourire pour les deux et que la fête commence ! Il avait bien sentit que le camarade aux cheveux bleus du rouquin ne semblait pas particulièrement enthousiaste, ou alors c'était qu'il ne l'aimait pas c'était possible aussi, mais Jace avait l'air au top de sa forme donc le brun décida de ne pas en tenir compte, gardant sa bonne humeur à toute épreuve et son sourire aux lèvres. Il rit un peu à la proposition de son ami.

-Va pour le bar c'est vraiment qu'il commence à faire chaud ici !

Et puis de toute façon il ne passait pas une soirée sans boire. Il était jeune, autant en profiter, dans la mesure du raisonnable bien sûr. Alors qu'ils se dirigeaient vers le bar, un fêtard apparemment pressé déchaîna un nuage de poussière sauvage sur Jace, qui se mit alors à faire une danse des plus comiques, lui tirant un nouveau rire tout comme au troisième membre du groupe.

-Il a raison, calme toi et secoue tes vêtements tranquillement ça ira mieux

Même si sa danse est sympa à regarder. En parlant de regarder, ses yeux dérivent un peu de la scène pour regarder le ciel au dessus de l'eau dans lequel il a la surprise de voir une étoile filante, le faisant sourire.

-Oh regardez une étoile filante ! Ça me donne des envies de chanson...

Il pouffe, moqueur à sa propre bêtise avant de regarder Jace, malicieux.

-Tiens en parlant de ça... On va se prendre à boire et si tu nous chantais un truc qu'est ce que tu en penses ?

Tout sourire de sa part. Il n'a pas oublié que Jace lui avait avoué beaucoup chanter sous sa douche c'était l'occasion non ? Et puis quitte à être là, il lui donne le titre d'une œuvre, promettant de l'accompagner. Pour le délire, parce que c'est drôle.


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Alexander Bane
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Jace Fray
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Mar 28 Juil - 18:27
Mon déhanchement diabolique et sauvage particulièrement animé ne manquait pas de faire rire mon colocataire ainsi que l’étudiant en psychologie alors que je grognais sans cesser de gesticuler, c’était rare de ma part mais là quand même ! Bon j’aurais ris aussi à sa place faut être honnête.

- Jace, ce n'est pas en te secouant comme un prunier que tu vas arranger les choses !

Le second confirmait ses dires et un long soupire amusé quittait mes lèvres. Soulevant mon haut pour chasser les grains qui avaient décidé de me coller le torse en le secouant, sous des conseils avisés, je luttais de toutes mes forces pour arrêter de remuer et prenais sur moi pour supporter la sensation des grains logés dans mon caleçon. Prochaine mission, des chiottes et les dégager. Vite.

- J’ai pas d’autre solution ! C’était ça ou m’foutre à poil, en plus ça gratte c’est horrible j’vous jure.

Un léger rire ponctuait la phrase. Mon portable vibrait dans ma poche. J’remettais correctement mon t-shirt et le sortais en leur faisant tout de même signe de tête d’aller vers le bar, j’avais toujours soif fallait pas croire. Kris ? La photo et le message me faisait autant rire que me tendre. Putain. Il était là, je faisais rapidement pianoter mes doigts sur la boîte qui me servait de portable avant de me cogner contre un Alex détaillant le ciel, envoyant en même temps mon message.

« Nom de dieu mais il est partout ce type ! Pire que la peste mdrr ! »

Les paroles du mur que je m’étais tapé, sans mauvais jeu de mot, me faisaient hausser les sourcils surprit avant d’exploser de rire.

- Chanter, sérieux ? Nan mais tu m’fais faire n’importe quoi toi !

Sous les encouragements des gens qui nous entouraient et avaient entendu l’évocation de cette idée, mes joues s’empourprèrent légèrement, bon avec mon violon ça aurait été bien moins compliqué et gênant !

- T’as intérêt de m’accompagner... Et toi aussi tu peux hein !

Hélais je a l’attention de mon ami aux cheveux bleus. Raclant ma gorge, j’entamais l’air que m’avait bien gentiment demandé Alex sous les conseils d’une bonne étoile, ou mauvaise selon le juge. Terminant rapidement, je me frottais le visage en riant, instant gênant, bonsoir. Aller dégagez les rougeurs.

- Bon fini les bêtises ! À boire !

Pour rapidement fuir toute cette attention malaisante je les tirais vers le comptoir. Ouais un peu d’alcool c’est toujours cool.


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Jace Fray
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Mer 29 Juil - 0:03
Une semaine, il devait attendre une semaine avant de pouvoir rejoindre sa terre natale. Ses parents avaient décidé de faire quelques travaux dans la maison familiale. Chaque année ils accueillent un peu plus de monde à chaque fois, avec les fratrie de 9 plus les conjoints de certains, voire les enfants. Ca commençait à faire du monde à la maison. Seulement les travaux avaient pris un peu plus de temps que prévu et Murphy se retrouvait à devoir attendre alors que la plupart de ses amis étaient partis.

Les premiers jours il en avait profité pour dormir comme une marmotte, ne se levant que pour se nourrir puis il avait commencé à sortir un peu. Cependant sa sortie restait toujours la même, un aller retour au café lecture du coin. Il avait trouvé là bas le fauteuil le plus confortable du monde.
Au bout du troisième jour, il avait entendu de ce qui s’organisait à la plage. Son premier avis fut négatif puis lorsqu’il commença à faire du tris dans sa chambre, il se rendit compte qu’il avait pas mal d’affaires dont il ne se servait plus. Notamment des mangas dont le thème était un peu spécial. Réflexion faite, ce genre d'événement attire du monde donc l’occasion rêvée pour passer incognito et vendre ses ouvrages japonais avec bien trop d’hommes nus pour l’avis général. Parmi tout ce petit monde, il trouverait bien un fervent admirateur de ce genre de lecture.

Il était arrivé tôt à la plage et il s’était trouvé un petit coin pas trop mal placé, pour accéder à la plage on devait forcément passer devant lui. Il avait prit une chaise et une petite table. En plus de sa lecture, il avait ajouté quelques babioles pour que tout ce petit bazars reste harmonieux. Avec une petite pancarte “ vide grenier “ tout était bien installé. Lunette sur le nez et accompagné de sa gourde, il attendait sagement en souriant gaiement. Il avait reconnu quelques tête connues qu’il croisées à l’académie. Ca promettait d’être intéressant.
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Asar Lasri
Jeu 30 Juil - 12:19
La réponse du tatoueur attire un sourire amusé sur les lèvres de l'égyptien. Finalement il avait fait le bon choix, l'homme semblait savoir tourner ses phrases et être un peu...au-dessus du lot. Plus intéressant que les autres personnes qui se trouvaient autour d'eux en tout cas. 
Surpris quand il trébuche, il sent un bras s'enrouler autour de sa hanche et un contact contre lui, le faisant tressaillir . Il n'a pas l'habitude du contact physique, surtout dans ce genre de cas, même s'il reconnait que cela lui a probablement éviter de tomber. Il se décale légèrement quand la prise se relâche, revenant à une distance convenable entre eux deux. Personne ne serait sans doute assez fou pour lancer une rumeur sur un avocat comme lui donc là n'était pas le problème mais il y a des codes sociaux à respecter. 

-Merci

Il murmure en réponse, adoptant par réflexe le même ton que son vis-à-vis, avant que ses yeux ne reviennent sur la femme. Il ne lui faut pas longtemps pour faire le lien entre l'attitude de cette dernière et les paroles du tatoueur. Il suit la scène avec amusement, regardant le visage de l'inconnue se décomposer et devenir encore plus rouge qu'il ne l'était déjà. Clairement, le tout l'amusait et faisait gagner quelques points au tatoueur. Il voit la jeune femme filer sans demander son reste et revient sur Kris, ses lèvres légèrement ourlées d'amusement.

-Les coïncidences tombent parfois bien, nul besoin de remerciement pour cela

Il ne l'avait pas fait exprès, ce n'était qu'un hasard pour le coup donc autant laisser cela de côté. 

-De ce que j'entends vous m'avez l'air d'avoir de nombreuses relations dans cette ville 

Il laisse son regard s'éloigner du métisse pour dériver sur la plage qui les entourait, balayant les gens sans leur accorder la moindre importance mais notant les évènements. Assez curieux dans le fond.

-Cette soirée me semble bien agitée j'ignore si c'est toujours ainsi mais cela me parait...surprenant 


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Asar Lasri
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Kris McGeyver
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Jeu 30 Juil - 16:29
- Les coïncidences tombent parfois bien, nul besoin de remerciement pour cela. De ce que j'entends vous m'avez l'air d'avoir de nombreuses relations dans cette ville. Cette soirée me semble bien agitée j'ignore si c'est toujours ainsi mais cela me parait...surprenant.

Alors là, il ne savait pas si bien dire.
Chacune des phrases prononcées par Asar touchaient juste, autant pour la coïncidence bien heureuse qui lui avait empêché de perdre son porte-feuille que pour le nombre de personnes qu'il connaissait en ville. Il n'y avait qu'à jeter un coup d'oeil à son portable, professionnel comme personnel pour se rendre compte qu'un Kris qui se baladait en ville n'était jamais seul. Ou du moins, ne le restait pas vraiment longtemps.
Quand à la soirée, suivant le regard de son vis-à-vis, les lueurs bicolores vinrent embrasser la plage. Bon. Tout semblait s'activer mais d'un coup, Kris n'avait plus envie de rester planter au milieu de la foule. Ca sentait l'embrouille.

- Je suis le tatoueur le plus réputé de la ville et je sors beaucoup alors ... assez oui ? Et si on s'éloignait un peu ? Je sens que rester au milieu de la foule est vraiment une mauvaise idée. Lâcha-t-il avec un léger rictus du nez.

Quelques mètres plus loin, l'italien se stoppa, toujours à portée mais plus au centre même de la foule, inspirant profondément en jetant un coup d'oeil en direction des vagues. C'était calme. C'était agréable. Il avait juste envie d'aller se poser sur un rocher loin du bruit pour se plonger dans l'ambiance irréelle que pouvait lui réserver les lieux surplombés d'un milliard d'étoiles.

- Sans vouloir vous vexer, vous n'avez pas l'air d'être le genre à venir à une soirée comme celle-ci juste pour faire des rencontres. Vous espériez voir quelqu'un ?

Curiosité quand tu nous tiens ... une amie ? Une amante ? Un peut-être ? Une quelconque opportunité aussi.

- Ou votre journée s'est-elle simplement mal passée et vous vouliez vous vider la tête ?


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Kris McGeyver
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Kwon Hyo
Jeu 30 Juil - 16:40
- C’est bien moi de fait ! Griffin. Enchanté ! J’ai tout prévu dans mon sac.

Woaw.
Il était cool. Hyper enthousiaste, mais cool.
Un peu le même genre de style que moi, d'une certaine manière c'était un peu rassurant. Et d'une autre... absolument pas ? Un peu paniqué, je toussotais avant de brandir le sac que j'avais sur l'épaule devants es yeux.

- Ah oui, salut, voilà c'est cool hum ... j'ai tout là. Tu veux vérifier ?

D'une voix un peu tremblante dû au stress, j'ouvrais mon sac pour en sortir les quelques livres, qu'il en prenne connaissance et les lui tendait. Du coin de l'oeil, j'aperçus la tignasse rousse d'un étudiant qui me disait vaguement quelque chose - fuck, ça c'était pas cool - à un stand : mon deuxième arrêt. Et ensuite, je file rentrer chez moi et me planquer en priiiiant de toute mon âme pour que personne, au grand PERSONNE n'ait remarqué ma présence. Sauf eux mais je n'étais pas bien sûr qu'ils me connaissent vraiment de toute manière. Quoique j'avais entendu une histoire par rapport à la tête rousse et au meilleur ami de mon compagnon ... hun, j'étaisi pas bien sûr mais je crois avoir compris que le rouquin avait dit bonjour au béton armé suite à l'agacement de Zack. Ce qui me parait ... un peu trop réaliste pour être juste un fantasme de mon esprit.

- J'espère que je n'ai rien oublié. Ah, sinon je peux retourner les chercher ! Lâchais-je en me retournant un peu.

Comment dire. Je devais vraiment arrêter les grands gestes. Celui là eu l'effet de taper dans un serveur qui, trébuchant, fit tomber son plateau. Sur ma gueule. Devant Griffin.
Mais si c'était suffisant, naaan. De surprise, j'avais réussi à m'emmêler les pieds jusqu'à trébucher, courant sur quelques mètres en laissant échapper mon sac et tout ça pour au final venir m'étaler devant le stand de Murphy. Ou sur, je n'étais pas bien sûr de moi ? J'avais juste les cheveux sale, la dignité dans les talons et une grosse envie de pleurer alors que je tenais mon front où un gros bleu commençait à se former.
J'étais.
Fichu.


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Kwon Hyo
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Bonifacio Castelli
Survivant de l'Escape Game Halloween 2021
Jeu 30 Juil - 22:02
Playa gold


Il s’arrête là où les grains de sable commencent à escalader le contour des dalles de béton. Son souffle est encore court, et l’air chaud de la plage s’engouffre par sa bouche ouverte, soulevant son torse de plus en plus lentement.

Il a eu besoin de se vider le crâne. Dans sa poitrine, il y a avait comme une frénésie difficile à calmer, le genre de nervosité mauvaise qu’on ne cale pas avec la fumée ou l’alcool. Alors Bone n’a pas pris le temps de manger ; il est sorti courir, happé par l’urgence de faire redescendre le drôle de cocktail parasite remontant dans son échine.

Les endorphines remontent désormais le long de ses veines comme des petites bulles de champagne. C’est paresseux, ça lui fait frémir l’épiderme, lentement, pendant qu’il observe les gens s’épivarder sur la plage. Une fête. Bone se souvient ; ses collègues lui en avaient touché un mot. Pas qu’il aille spécialement envie de causer travail avec eux en tenu de sport, le dos encore en sueur, mais maintenant qu’il est ici…

Ça ose s’approcher légèrement, descendre les talus, et laisser la musique gonfler contre ses tympans.

Ses billes sombres captent de loin l’espace plus couvert qui semble abriter le noeud de la fête, mais aussi les bars, les tables. L’italien cracherait pas sur une bouteille d’eau. Il cracherait pas sur bien des choses, en général, faut dire. Mais là, il se sent patient. Puis y’a un mouvement qui attire son regard, plus bas - ça vient vers lui, presque sautillant, et son pied recule par automatisme lorsqu’il reconnaît la silhouette d’un chien se dépêchant de venir le saluer.

L’animal a encore sa laisse au cou.

Bone laisse ses doigts frôler une oreille velue, puis s’accroupit en sifflant tout bas en voyant que le cleb, indiscipliné, semble déjà prêt à repartir vers de nouveaux camarades à saluer. Le chien dandine de l’arrière train en faisant chemin inverse, excité par les bruits, les odeurs et les lumières, et Bonifacio crochète doucement son collier de l’index et du majeur avant de lui donner une caresse plus franche contre l’encolure.

Alors, c’est comment, la liberté ? Il demande d’une voix tranquille, un peu rauque, en relevant les yeux pour connaître la direction d’où vient l’évadé.

Ses billes noires tombent sur un jeune à la dégaine marginale ; le propriétaire, visiblement, étant donné la façon dont il marche vers eux. L’animal fait mine d’être vivement intéressé par le nouveau venu, et à peine Bone l’a-t-il lâché qu’il retourne faire la fête au simili-punk, vivifié par cette balade en freestyle improvisé.

L’Italien se fend d’un rapide sourire. Ça lui tire le carré de la mâchoire, comme il glisse brièvement une paume lourde dans son cou encore humide.

C’est le tien ? Sait-on jamais. Il a l’air d'apprécier la fête. À première vue, le brun n’oserait pas en dire la même chose du jeune homme ; ça a plutôt l’air de l’emmerder, toute cette joyeuse agitation. L'emmerder, ou autre chose.


Bonifacio Castelli
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Hugo Romanovski
Le Beau-de-l’air de Lifelam - Juin 2021
Jeu 30 Juil - 22:26
Brutal Summer.
Y a un insecte encore. Sous sa peau, sous sa carapace qui monte, rampe, grimpe, pique. S'enrouler autour de sa trachée, prend possession de ses nerfs optiques. Pirate son système sémantique.
Les œufs éclosent petit à petit, remontant en se tortillant d'un millier de vers sous sa chair, tremblante d'une explosion veineuse qui menace de se faire. Volcan en éruption vissé dans la gorge. Ça passerait s'il y avait une raison de s'énerver.

A tâtons, il cherche. La laisse, le cuir sans se rendre compte que la boucle avait glissé de son index lorsque sa main avait buté contre le mur d'air. Pas de chaleur. Pas de fourrure. Pas de chien.
Pearly ?
Les lumières de la fête reviennent agresser ses prunelles éparses, rameutant la boule d'angoisse qui le prit jusqu'aux tripes.
Pearly ?
La petite forme rousse s'est arrêtée devant un homme à genoux, visiblement bien loin de se douter du chaos dans la tête de son maître. Ne pas partir au quart de tour. Respirer. Sinon, il allait lui faire peur, encore. Ce gars était en train de caresser son chien, juste... juste caresser son amie, pas la prendre, pas l'enlever, pas lui faire du mal.
Une forte inspiration gonfla doucement sa poitrine alors que difficilement, dans une impulsion guidée par le courant électrique dû aux anguilles sous son épiderme, il repoussa le mur pour s'approcher difficilement de l'inconnu. Quelques traces dans le sable tout au plus, seules témoins de son passage sur Terre.

- C’est le tien ? Il a l’air d'apprécier la fête.

Les billes obscures se posent sur la carotide du plus vieux. Elle palpite, excitée par la course comme en témoignes les gouttes de sueur qui la font briller.
Déglutition difficile, pourtant il maintient le contact visuel, à l'image d'un chien violent par peur. Ne pas bouger jusqu'à atteindre sa chienne qui revient vers lui en trottinant. Et il la prend dans ses bras pour la porte contre son torse lentement, sans quitter l'intrus des yeux, vérifiant de sa main blessée son état avant de la reposer au sol.

- ... Elle.


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Hugo Romanovski
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Bonifacio Castelli
Survivant de l'Escape Game Halloween 2021
Jeu 30 Juil - 22:58
Playa gold


Il a pas bougé, pas immédiatement. En fait, c’est qu’il a pas eu conscience de se redresser. C’était lent, rivé sur le plus jeune, alors qu’il hissait son animal contre son torse pour l’inspecter. Ou s’en sécuriser. Bone ne saurait pas dire. Mais il est debout, là, debout devant l’autre, et même avec la légère distance qui les sépare encore, l’italien sait qu’il s’est déployé à nouveau, parce que maintenant, il le dépasse. Ses yeux tombent, derrière ses paupières lourdes, sur le corps du cadet qui redépose son fardeau dans le sable.

Il fait pas exprès, Bone, de regarder comme il le fait. Il y a fort à parier que si ses pupilles minces avaient eu un visage sur lequel se poser immédiatement, c’est par là qu’elles auraient dardé leur focale. Autrement, elles dérivent sur la nuque du punk, légèrement plus bronzée que le haut de son dos - Bonifacio en a vu une mince ligne de peau, lorsque le t-shirt a bougé, dans le mouvement -, puis sur ses épaules, ses bras, descendant comme le brun remonte.

Elle accrochent même rapidement ses mains, et ce qu’elles ont d’abîmé. Dans la voix du jeune homme, y’a la même écorchure que sur ses jointures.

Elle.

Le regard de Bone est remonté se visser dans celui du propriétaire de la chienne, donc, comme on appuie sur une détente. Le déplacement rapide fait se hausser légèrement ses arcades sourcilières.

Ça reste là comme un con. Quoi ?

Il a compris, pourtant. Mais y’a un truc qui refuse de se reconnecter. Ou c’est le contraire. Y’a un truc qui s’est accroché quelque part, brusquement, et qui trouble le reste de ses sens en suspens. Effet secondaire de la baisse d’adrénaline, peut-être.

T’es blessé.

Il lâche ça comme un fait plat, les yeux toujours rivés contre ceux du brun, incapables de redescendre se loger sur le poing estropié. Alors il pourrait parler des phalanges comme d’autre chose. Il a l’impression de parler d’autre chose, en fait.

La chienne vient fureter à ses pieds, et ça lui donne enfin le snap out qu’il attendait. Sa tête s’incline vers l’animal. Bone le détaille, pour s’occuper, on dirait.

C’est quoi, ça ?

C’est lent, très peu bavard, et pourtant. Pourtant, y’a pas de malaise. On dirait que la musique s’est arrêtée, ou alors c’est lui qui ne l’entend plus.


Bonifacio Castelli
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Hugo Romanovski
Le Beau-de-l’air de Lifelam - Juin 2021
Jeu 30 Juil - 23:09
Ils le dérangent, ces yeux. Pas d'un malaise qui tend à la nausée, mais suffisamment pour faire courir la fuite à l'arrière de ses mollets. Un pas. Puis deux. Il les place dans sa tête sur un crissement de rembobinement de cassette. Mais c'est comme baisser les yeux : animal apeuré reste alerte. Pas baisser. Pas bouger.

- T’es blessé.

On dirait deux chiens surpris de tomber l'un sur l'autre. Ou un chien nez à nez avec un gros insecte étrange. Un genre de mille-pattes qui s'est immobilisé à son arrivée, observant d'un oeil calculateur pour distinguer par quelle oreille son entrée serait plus aisée.
Sauf qu'Hugo ne calcule pas parce qu'Hugo ne réfléchit pas.
L'esprit blanc pour seul tilte la respiration puis l'éternuement de sa chienne. La voix de l'intrus aussi.
Pas de mouvement. Pourquoi répondre à une évidence ? Ses jointures auraient pu être à l'air avec un coup de plus mais personne n'en aurait rien su. La nuit quand elle vient le voir, la lumière est toujours éteinte.
Alors personne n'aurait vu.
Même quand elle, elle voit tout.

- J'ai pas mal.

Pas bougé.
Pas de faiblesse. Pas de douleur. Il fixe alors que c'est la chose la plus difficile au monde pour lui.
L'autre est vide, ne sourit pas, ne fronce pas les sourcils. Impossible de discerner les expressions de jugement qui passent contre son faciès. Peut-être en s'approchant et en plongeant dans les miroirs de son âme, mais la distance est intraitable. C'est un trou entre deux dimensions et Hugo ne sait toujours pas voler.


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Hugo Romanovski
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Andrej Dabrowski
Super conteuse d'aventures
Jeu 30 Juil - 23:26
Event de l'été - Vamos a la playa ♫ - Page 3 Maire_10

Une goutte de sueur commence à couler le long de la tempe du Maire. Des voleurs, des chiens errants… Sans compter de nombreux accidents… Sa beach party prenait une drôle de tournure qui lui plaisait moyennement ! Si en plus les deux grosses pointures présentes à sa fiesta en faisaient les frais… Il pouvait dire adieu à sa carcasse botoxée !

Mais tout cela était bien loin, très très trèèèèèèès loin des préoccupations du Dieu du Hasard qui s’amusait littéralement comme un petit fou. Son regard malicieux posé sur la populace, il fait jongler ses dés entre ses doigts avant de les faire rouler de nouveau sur le tapis du destin… MOUAHAAHAHAHHA !!!


- Daniel Anderson : [23] Les dés sont malicieux et voilà que vous trébuchez pour vous écraser sur une jeune fille qui passait par là !

- Naël Edel : [3] Les dés vous pousse à vous libérer et vous voilez en train de vous trémousser en chantant « Libérée ! Délivrée ! »

- Noah Jones : [27] Les dés vous boudent et voilà qu’un serveur s’écrase violemment dans le sable, vous renversant un plateau de petits fours dans les cheveux !

- Cleeve Holden : [23] Les dés sont malicieux et voilà que vous trébuchez pour vous écraser sur une jeune fille qui passait par là !

- Màel Levy : [37] Les dés savent être romantique et votre délicate beauté les inspire… Un admirateur inconnu frôle votre hanche avant de disparaître dans la foule, vous laissant un billet doux, romantique et poétique, à votre attention...

- Altaïr Phoenix : [5] Les dés n’apprécient guère votre allure orgueilleuse et décide de vous jouer un mauvais tour ! Un voleur à la main bien leste décide de vous piquer vos chaussures !

- Jinzo Takeda : [28] Les dés décident de vous provoquer et vous voilà en train de vous étouffer avec une olive qui barbotait joyeusement dans votre boisson !

- Asar Lasri : [28] Les dés décident de vous provoquer et vous voilà en train de vous étouffer avec une olive qui barbotait joyeusement dans votre boisson !

- Jungo B. D. Ghostfeller : [36] Il semblerait que les dés décident de se faire pardonner et voilà que la petite loterie de la fiesta vous fait gagner une bouteille de champagne hors de prix !

- Kris McGeyver : [34] Les dés sont sportifs mais maladroits ! Voilà qu’un ballon de volley mal réceptionné heurte votre visage !

- Hugo Romanovski : [14] Les dés sont éblouis par votre grâce, votre élégance, votre beauté, votre perfection ! Un parfait inconnu sexy en diable décide de vous frôler avant de disparaître en vous laissant un gage de son adoration : un sublime coquillage.

- Liam Vassilios : [40] Les dés vous trouvent finalement fort sympathique et décident de vous donner un coup de pouce… Tandis que vous vous penchez, vous pouvez apercevoir 3 Otters sous une table du buffet ! (La monnaie sera directement ajouté dans votre cagnotte de point)

- Alexander Bane : [21] Sois vous entendez les dés parler, sois votre boisson a été « pimentée » mais voilà que vous entendez une voix venue d’un autre monde...

- Jace Fray : [25] Pas de bol Jean-Paul ! Les dés vous grognent dessus et vous poussent ! Voilà que vous trébuchez dans le sable et que vous vous tordez la cheville !

- Murphy N. Shaw : [33] Les dés vous aiment et vous adulent ! Tandis que les vagues lèchent vos chevilles, vous apercevez entre les vagues un magnifique bracelet sans propriétaire !

- Nash T. Belkov : [39] Les dés se sentent l’âme de poète… Vous voilà en train de déclamer un alexandrin à Murphy N. Shaw !

- Bonifacio Castelli : [22] Les dés trouvent qu’il manque un peu de piment à cette fête… Voilà que vous croyez voir un aileron de requin entre les vagues !


Event de l'été - Vamos a la playa ♫ - Page 3 R0l0

Mes merveilleux cadeaux de Noël ♥️♥️♥️
Spoiler:


Andrej Dabrowski
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Bonifacio Castelli
Survivant de l'Escape Game Halloween 2021
Jeu 30 Juil - 23:30
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J’ai pas mal.

Il sent sa propre respiration lui descendre lentement dans les poumons, puis se faire un chemin en sens inverse. Et puis, la musique. Elle revient tout doucement à ses oreilles, lui rappelle les prémisses d’une vie en société, d’un endroit public, de quelques normes qu’on a tous plus ou moins appris à jouer. Par habitude. Alors c’est peut-être ça, le deuxième rictus rapide qui lui monte aux lèvres avant de s’échouer aussi rapidement : l’habitude. Comme sa voix qui reprend des tons plus incarnés, cherchant à les extirper de cette temporalité étrange où ils sont tombés.

Ok, Rambo, Bone susurre, l’ombre d’un amusement bienveillant pendu au coin de la bouche, ou alors ce sont les relents d’une grimace incommodée qui n’est jamais parvenue à se matérialiser.

Il lève la main pour passer un ongle sur l’arête de son nez, finir de secouer la léthargie étrange venue se réfugier entre ses omoplates.

L’eau de mer ça désinfecte, mais j’te dirais qu’avec celle-là tu risques plus de choper une infection. Ses billes vont rapidement chercher l’océan sombre, et comme pour confirmer ses dires, un gobelet de plastique rouge, échappé par un ivrogne ou délaissé par un festivalier peu soucieux de l’environnement, roule dans l’écume d’une vague venant s’échouer contre la berge.

T’étais à… Il revient sur lui, bouge légèrement la main près de sa hanche - elle amorce une levée pour désigner le stage, se résigne -, t’étais à la fête ?

Je veux pas te déranger. T’y retournes ? Si c’est juste ton chien, le problème. C’est quoi ton nom, d’ailleurs. J’vois pas tes potes. T'es pas très causant.

… T’es seul ?



Bonifacio Castelli
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Hugo Romanovski
Le Beau-de-l’air de Lifelam - Juin 2021
Jeu 30 Juil - 23:43
C'est qui Rambo ? Sa culture cinématographique s'arrête aux disneys de son enfance, regardés allongé contre les genoux de son père. A la planète aux trésors. Juste assez pour savoir que sur cette planète, y a pas de trésors.
Mais il rigole alors c'est que c'est drôle. Ou qu'il se moque puisque lui ne ressent pas le tressaut premier de l'amorce d'un ricanement. Depuis combien de temps sa gueule ne s'était pas tordue dans une autre posture que celle de la rage ? Il ne comptait plus. Pas, tout court.

- L’eau de mer ça désinfecte, mais j’te dirais qu’avec celle-là tu risques plus de choper une infection.

Regard vers la mer.
Il aimerait bien y tremper ses pieds. Et Pearly adorerait y mouiller son pelage. Le temps qu'ils rentrent, elle serait sèche non ? Et le sel dans la plaie ... rongée jusqu'à la veine. Et puis la question, qui l'interpelle, juste quand ses yeux dérivaient, moins sur le qui-vive, vers l'écume.
Bien sûr qu'il est seul. Ou non. Il est avec Pearly. Pourquoi allez à un endroit aussi bruyant ? Seul le froncement de son nez, étirant celui de ses sourcils lui répond. Mais dans le noir, pas sur qu'il l'est vu.

La chienne trottine un peu vers l'eau, tirant sur sa laisse, capricieuse. Hun ..., grognement à peine retenue quand il se sait faible face aux envies de sa compagne.
Il fait un pas de côté seulement. Juste le temps de garder le même rayon autour du point central qu'est l'inconnu pour lui. Juste pour tourner autour sans s'en approcher plus mais sans pour autant s'éloigner, toute son attention focus sur la carotide qui calmait sa course avec un temps de retard par rapport à son propriétaire. Un peu trop focus.
Beaucoup trop focus.

- Tiens c'est pour toi t'es magnifique !

Sursaut immédiat, alerte déclenchée, même Pearly fait un écart un peu trop sec. A l'opposé de celui de son maître qui trébuche et tombe dans le sable en arrière, réduisant le rayon par rapport au sportif et l'augmentant avec l'inconscient qui lui avait tendu un coquillage. Et qui s'approchait encore, grand sourire aux lèvres.
La gifle part, ongles trop longs sortis, lacérant la peau en la repoussant brusquement. La flamme monte, la lave déborde presque alors que la stupeur se transforme en aboiement vorace.

- C'est quoi ton putain d'problème à toi ?!

Respiration courte, la chienne revient se blottir contre ses jambes alors que le sable s'enfonce sous ses ongles, traçant sinueuse ses plaies ouvertes devant le recul de l'autre.


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Hugo Romanovski
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Bonifacio Castelli
Survivant de l'Escape Game Halloween 2021
Ven 31 Juil - 2:23
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Le tressautement sec d’un rire creuse par à-coup dans l’arc défensif de Bone ; c’est pas un périmètre visible à l’oeil nu, parce que Bone, il est à peu près toujours avenant, et vraiment, c’est en dedans que tout se braque et se barricade. Alors parfois il te sourit, mais en fait il veut ta peau. Ou alors il te sourit et c’est sincère.

Cette fois, c’est sincère. Il se détend imperceptiblement, la brise du large sur l’humidité de sa peau. Il se dit qu’il a bien fait de sortir. De pas s’écraser sur la terrasse avec son grinder et son papier à rouler. Élizabeth l’aurait peut-être rejoint, ils auraient ouvert une bouteille de vin - il l’aime bien, Élizabeth, faut pas croire.

Mais parfois, ça l’étouffe de rien faire. De se sentir couler dans une relaxation de façade. Derrière l’herbe qui lui alourdit les tempes, y’a toujours un fond instable de colère. De mal-être engourdi, mais rampant.

Bonifacio observe le brun qui lui observe la mer. Ça lui vient pas dans l’idée de regarder dans la même direction que lui, même si ça serait la chose à faire. Il tombe sur l’angle un peu brut de sa mâchoire ciselée. Bute contre une digue d’os et de chair comme il bute sur tout le reste de sa personne, depuis plusieurs secondes. Il note les piercings. L’espèce de ride sur le coin d’un oeil ; le genre de relief que prend la peau, qu’importe l’âge, quand il y a de la colère logée plus loin, sous les os. Une colère qui dort.

Bone pense : jeune.

Jeune, pour ce sillon-là. Pour ce qu’il perçoit, pour ce que l’aura du cadet lui renvoie.

Mais c’est qu’une impression vague, une sensation indicible. Ça n’a pas de mot ou de forme, ça lui reste juste à la surface du torse, comme une modification légère dans le poids de l’air qu’il respire.

L’autre gronde. Se déplace. Bone le suit des yeux sans bouger. Capte à peine la ronde que le punk amorce dans son orbite, chien de faïence en jaugeant un autre.

Lui aussi, il se sent chien. Une fébrilité tendue dans la nuque, un intérêt palpable derrière son palais. Calme et vif. Interpellé.

Tellement qu’il voit pas l’autre mec venir droit sur eux, la démarche un peu chambranlante - trop d’alcool, ou tentative ratée d’un déhanché langoureux sur le rythme des basses. Bone, il fait pas un grand écart comme le punk et sa chienne. C’est ailleurs que ça tressaute ; ça lui bande les muscles, réponse instinctive à la présence déplaisante fendant l’espace d’un périmètre acceptable. Il barre, comme un boxer au son de la cloche, pendant que le jeune trébuche, et que l’autre énergumène à la réalité décalée continue de s’approcher, invasif, se penche vers lui pour lui tendre un coquillage.

C’est peut-être ni l’alcool, ni le sang latino. C’est peut-être une substance autre, un stup qui lui a monté à la tête. Mais pas assez fort, pourtant, pour ne pas faire réagir l’inconnu lorsque le punk lui jappe sa menace en repoussant brusquement sa main.

Le mec semble amorcer un mouvement de recul, décontenancé une milliseconde, avant de revenir à la charge en souriant comme un simple d’esprit. Ça va pas le faire.

Bone s’interpose avant même d’avoir eu le temps de réfléchir à ce qu’il allait faire. Le geste est rapide, sans douceur ; il empoigne le bras du festivalier, sévère, et y broie brutalement les tendons avant de le repousser sèchement. C’est bon tu le lâches ?

La voix gronde pas plus haut que le reste, et pourtant. Ça porte des intonations agressives que l’homme semble comprendre, puis il mesure la carrure de Bonifacio d’un coup d’oeil rapide.

Chill man, chill… il se lamente avec un rictus mou, les mains en signe de paix, avant de faire demi-tour. Dans la tempe de Bone, ça cogne fort et vite. Même quand l’autre s’éloigne, même quand ses yeux tombent sur son cadet, toujours au sol, près de sa jambe. Il s’est placé devant lui, un peu de biais. Se souvient même pas d’avoir avancé.

Il se tourne et lui attrape rapidement l’avant-bras pour le hisser sur ses pieds, évitant les phrases du style ça va ? ou un coup de main ? ; trop de risque que l’aide soit repoussée, par fierté ou par colère. Alors il le tire et puis c’est tout, le lâche presqu’aussitôt, et claque un il aurait pu trouver mieux comme pick-up line pour détendre l’atmosphère.

Y’a un petit truc, dans les yeux assombris du jeune, qui lui dit de ne pas trop en faire. Alors il en fait pas trop, Bone. Il détourne même les yeux, vers la mer, encore une fois, là où le mec a décidé de longer la berge pour retourner près des festivités.

Puis sous la brillance mouvante des lumières se reflétant dans le remous de l’eau noire, le brun croit discerner une forme allongée, qui monte et replonge. C’est près, tout près des quelques personnes s’étant hasardé dans les vagues, encore habillées, leur verre à la main.

Le regard de Bone demeure figé là, tente d’anticiper l’endroit où la forme étrange pourrait refaire surface. Puis l’aileron reparaît, et l’italien reconnaît bien le pavillon sombre imputable aux requins. Proche des côtes de son enfance, quelques-uns osaient s’aventurer près des marinas. Mais en Angleterre ?

... C’est une blague ? Il laisse échapper - pas le temps d’expliquer au punk ce à quoi il fait référence ; s’il a visé dans la même direction que lui, il a peut-être vu.

Bone pensait pas reprendre le footing de si tôt. Mais là, il court. Il s’enfonce dans la foule, plus dense à mesure qu’il s’approche du stage où bosse le DJ de la soirée. La bousculade lui vaut quelques cris outrés, puis il saute sur le stand légèrement surélevé pour s’emparer du micro sous l’oeil ahuri du mixeur. Trop vif pour se faire repousser tout de go.

Désolé les amis, la baignade est terminée, il y a un requin dans l’eau.

Peut-être trop décontracté, comme avertissement ? La musique continue de tourner, mais la majorité des gens présents tournent la tête vers le stage, un sourire d’incompréhension sur les lèvres. Bone entend sa voix résonner dans les enceintes. C’est surréel. Il a un geste de repli pour échapper à la main du DJ qui tente de récupérer le micro.

Vous êtes sourds ? Il y a un requin.

Le micro fait un son strident dans les enceintes lorsque le mixeur le récupère en crachant une insulte, insulte qu’on entend à moitié avec le son qui se coupe, mais finalement, la voix haut-perchée d’une femme appuie les dires de Bone d’un cri digne d’un film Hollywoodien, le doigt pointé vers l’eau.

Bonifacio n’a pas le plaisir de voir les rares baigneurs s’élancer vers la terre ferme, car déjà il est de retour vers le sol, fendant la foule en sens inverse ; une tentative maladroite de fuir ses collègues de travail qui l’auront peut-être repéré sur le stand. Putain, il va en entendre parler lundi au bureau.

Il est où, le mec avec le chien.

Pourquoi il le cherche, en fait.

Mais bordel, il vient de se passer quoi, là.


Bonifacio Castelli
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Hugo Romanovski
Le Beau-de-l’air de Lifelam - Juin 2021
Ven 31 Juil - 2:54
Agression, réprimande, défense.
Stupide ou juste alcoolisée, le plus jeune ne voit pas la différence : jamais il n'a bu, aucun fluidité grasse n'a jamais coulé le long de sa trachée pour venir pourrir son foie et exploser ses barrières sociales. Trop de risques par la suite. Pour lui, pour Pearly. Pour mom aussi. Mom a besoin d'être protégé de tout, de lui parfois aussi. Il est presque plus grand qu'elle, surement plus fort, il pourrait la blesser. Et blessée, mom serait en colère.
Et ce serait pire.

L'idiot s'arrête, réfléchit - ou pas ? - revient à la charge. Et lui sort ses crocs, salement, salivant presque à hauteur de visage. Trop bas, trop avachi pour bondir avec la force d'un puma. Mais il n'en a pas besoin, derrière lui, la bête s'est tendue, s'est placée, à récolter chaque tension comme sienne.
Hugo n'aime pas être défendu parce qu'Hugo n'est pas faible. Mais la surprise continent un élan de colère, bloquant la trajectoire d'un juron virulent lorsque sa vue est bandée d'un corps qu'il ne connait pas. Blottit tel un louveteau dans les pattes d'un adulte. Et l'adulte grogne, ne montre pas les crocs mais l'avertissement est suffisant pour remballer les ardeurs de l'intrus. Il part.
Et Hugo ne bouge pas. Perturbé à vif. Surpris à sang.
On tire sur son bras à la main blessée, bloquant l'écoulement quelques secondes et immédiatement, il est debout à écouter une blague qu'il ne comprend pas, qui le fait tout juste réagir. Un pas en arrière réflexe, c'est tout ce qu'il donne. Pas de merci. Pas d'insultes. Même pas de cris.
Et sous sa peau, ça pique, ça gratte, ça démange tout autour du contact dont la chaleur s'est fait sentir même à travers son tee-shirt. Ça chauffe sous le tissu, ça brûle les premières cellules.
Mais ça éloigne les parasites.

- ... C’est une blague ?

Quoi ? Rien n'est drôle, une blague c'est censé faire rire non ?
Le regard réflexe accroche son pied à terre roux tranquillement assis sur le sable, visiblement paisible en la présence de l'adulte. L'adulte sur qui il interrompt le fil de sa pensée. La carotide calmée malgré le coup de pression précédent. Mais bientôt plus vu la vitesse à laquelle il repart, tirant un froncement de sourcil au plus jeune qui recule un peu, se baisse vers Pearly, la tire contre son poitrail comme pour lui indiquer de se mettre en position de protection. Bluff lupin qui consiste à se blottir contre la gorge de son compagnon en mimant la peur pour au final la protéger d'une attaque mortelle.

- Désolé les amis, la baignade est terminée, il y a un requin dans l’eau. Silence en attente de la blague, Vous êtes sourds ? Il y a un requin.

Pas de blague. Ce n'était pas drôle.
Un cri, une agitation et Hugo qui hausse de nouveau un sourcil. Il avait sauté sur une table ? Etrange énergumène.
Malheureusement, le plus important avait été capté par son oreille : un requin. Un requin dans l'eau - sa place théorique -, non loin de lui. Et ça faisait des années qu'il n'en avait pas vu. Un jour, son père l'avait emmené à l'aquarium découvrir des animaux qu'il ne verrait jamais à Lifelam. Un jour seulement.
Hugo n'avait jamais voyagé et ne voyagerait surement jamais. Seul le hasard tendait toujours son fil rouge sans jamais le couper. Alors un requin devant lui, ça ne se loupait pas.

Les baigneurs s'écartaient et le lycéen y vit une opportunité unique. Ses chaussures abandonnées dans le sable, Pearly sagement assis prêt de ses affaires, habituée à les surveiller sans bouger, le polonais s'avançait tranquillement vers l'eau, évitant l'écume, foulant les premières vagues.
Bon. Frais. Froid même.
La pression marine qui attire, comme le vent qui amène à se jeter dans le vide du haut d'un précipice. Une inspiration profonde gonfle ses poumons : de là où il est, il peut surveiller la fête mais eux ne peuvent qu'à peine l'apercevoir. Confondu parfaitement dans l'obscurité, le plus jeune fit un pas de plus. En bas des mollets le froid. Et l'aileron en face.
Les requins n'attaquent pas les humains. De plus, même si ce n'était pas un grand blanc, il y avait très peu de chance qu'il se risque jusqu'à la plage. Jusqu'à lui. Ca ne l'inquiétait pas plus que ça. Visiblement même si la rousse n'était pas à son aise, elle ne pressentait pas de danger suffisant pour aboyer. Alors le lycéen s'accroupit juste assez pour plonger sa main dans l'eau, gardant la blessée en-dehors pour ne pas avoir à souffrir d'une nouvelle crevasse saline.


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Hugo Romanovski
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Bonifacio Castelli
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Ven 31 Juil - 3:47
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La foule rugit comme en sourdine lorsque Bonifacio parvient à s'éloigner. Son regard balaie la plage, intentionnellement lent pour ne pas se trahir lui même - il ne cherche pas le jeune, il jette un coup d'oeil, c'est tout. Un coup d'oeil qui s'éternise, qui l'oblige à avancer un peu mieux dans le périmètre, tourner la tête. Alors il le voit. Enfin, s'il n'était pas certain de pouvoir le reconnaître à cette distance, et en raison de la faible lumière, la chienne assise en face de l'eau lui confirme son intuition.

Un rebond, dans sa cage thoracique. Putain, il hallucine. Pourtant il fonce. Le pas rapide, les yeux plissés, réverbèrant mille questions agressives et muette retenues contre sa langue.

He, merde, son nom, tu fous quoi là !

Il est pas sérieux. Mais dans l'indécision à savoir si le brun est happé par la démence, Bone est déjà en train de virer ses pompes. Il peste à voix basse, et après une courte hésitation, entre dans l'eau en pestant un peu plus fort. Hn, putain, c'est pas les eaux de la Méditerranée, ça gronde à voix basse en s'approchant, jusqu'à refermer ses doigts sur l'épaule du plus jeune.

T'as pas entendu ? C'est presque crédule. Bone se ressaisit, se durcit légèrement. Sa voix est plus sèche, cantonné dans l'urgence qui refuse cependant la peur. Y'a un requin. Il se libère des yeux de son cadet pour regarder à l'horizon.

L'aileron fend l'eau avec lenteur, plus proche, mais toujours suffisamment loin pour que Bonifacio n'en vienne pas immédiatement à balancer le punk sur son épaule comme une vulgaire poche de farine.


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Hugo Romanovski
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Ven 31 Juil - 4:00
Ca gronde derrière lui, d'une voix qui n'est pas le clash des flots contre les falaises. Ca c'est sur sa droite, bien plus loin, là où les mouettes et les goélands nichent le temps de la ponte. Mais plus prêt, c'est la tonalité du vibrato d'une gorge, italienne de surcroît. A croire que tous les italiens ont cette faculté inouïe de faire trembler les tréfonds de leurs entrailles pour en ressortir un son ourlé qui, même agressif, sonne comme une jolie mélodie.

- Hn, putain, c'est pas les eaux de la Méditerranée. T'as pas entendu ? Y a un requin.

Le contact lourd sur son épaule, lui tire une grimace et un roulement d'articulation. L'os craque, Hugo s'écarte en titubant, manque de se casser la figure mais se retourne de trois-quart pour lorgner son oeil torve et intrépide contre le menton relevé du professeur. Pourquoi il a couru jusqu'ici au juste ? A moins que la téléportation soit aussi un gêne italien mais dans ce cas là, il fallait avouer qu'il se révélait vraiment être un handicapé mental pour ignorer cette fabuleuse avancée.
Un pas en arrière l'écarte encore un peu de l'inconnu, mouillant le bas de son jean d'une désagréable lèche saline. Prudent et mitigé sur l'individu.

- ... Ils n'attaquent pas les humains.

Sauf en les confondant avec des phoques. Et un phoque n'a pas deux pieds et ne traînerait pas sans bouger à la lisière du sable.
La mer sursaute, jetant une vague contre le haut de leurs corps, trempant jusqu'au milieu de leurs abdomens en lui tirant un sursaut brusque suivit d'un sifflement perçant. Hugo ramena rapidement sa main serrée contre son torse en y pressant l'autre tout aussi mouillé, la colère ravivée par la douleur cognant contre ses crocs. Mâchoires pressées, l'échine pleine de rejet, il darda rapidement son ressenti sur la seule chose présente qui pouvait le recevoir : deux billes abyssales qui semblent plus voraces de cris que le sont les plus débutants des prédateurs.

- Bouge.

Et derrière l'adulte, la rouquine qui jape d'inquiétude de ne pas voir son maître revenir, désormais refroidi par la mer et le vent froid qui commençait à prendre d'assaut le bord de plage.


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Hugo Romanovski
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Asar Lasri
Ven 31 Juil - 15:09
Il ne se trompait que rarement sur les choses, pour ne pas dire jamais. Comme le reste, cela faisait partie de son métier, de ce qu'il était. Savoir juger les gens et évaluer les situations. Et à en voir l'air du tatoueur, il avait encore visé juste. Parfait. Un fin sourire moqueur passe sur ses lèvres à l'invitation de s'éloigner.

-Je pense que ce serait judicieux en effet

A en voir l’effervescence qui régnait autour d'eux et les incidents déjà en court, il devenait de plus en plus évident que le tout risquait de mal finir et que s'éloigner serait sans doute une bonne idée, ne serait-ce que pour leur sécurité. Et puis, pour sa part, il ne tenait guère à la compagnie des gens qui s'y trouvaient donc s'éloigner lui convenait parfaitement. Il s'arrêta à une distance respectueuse de lui pour une conversation, profitant du calme retrouvé, une légère détente se sentant dans ses muscles. Il appréciait le sable et le calme ainsi que la compagnie ma foi assez agréable qu'il avait pu trouver. Il repose son regard d'or dans les yeux vairons, amusé de sa curiosité.

-Je n'espérais personne en particulier, je n'étais là que pour mon travail, renforcer d'éventuels liens pour de futurs contrats 

Il ne commente pas sur sa journée qui avait déjà été bien trop longue au goût de l'avocat et les quelques péripéties de ce soir ne l'arrangeait pas. Il allait continuer la conversation lorsque son attention vu détournée par des cris de jeunes en train de jouer au volley ou quelque chose du même genre, assez proche d'eux ce qui fait crisper sa mâchoire. Décidément c'est impossible d'être tranquille par ici ! Il réprime un soupire agacé, jamais en public avant de porter son verre à ses lèvres pour boire une nouvelle gorgée alors même que quelque chose semble foncer vers lui au coin de son champ de vision et il a le réflexe de se pousser vivement pour l'éviter. Ce qui n'est pas plus mal mais en théorie seulement. Un mouvement brusque avec un verre aux lèvres n'est jamais conseillé même si là ce ne sont pas les tâches qui l'inquiète mais plutôt l'olive qui se trouvait dans son verre à laquelle il n'avait pas encore touché qu'il sent passer dans sa gorge, l'étouffant à moitié. Il lui fallut au moins une bonne quinte de toux, légèrement appuyé sur le rocher qui se trouvait là pour réussir à ce que l'olive suive son trajet normal, le laissant légèrement essoufflé. Visiblement s'il y avait un jour pour ne pas sortir c'était celui là...


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Asar Lasri
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Sam 1 Aoû - 0:14
La soirée semblait vraiment ennuyeuse, ma collègue m'avait complètement laissé tombé et je ne m'occupais que de mon portable, me fermant au monde. Je jouais à un petit jeu stupide, une sorte de casse-tête où je devais trouver où mettre les bonnes formes dans quel trou. Oui c'est un jeu pour enfant, mais bon, ça me permet de me vider la tête. Je prenais mon verre de temps en temps pour boire, mais il se vida plus vite que prévu. Je relevais légèrement la tête, il y en avait du monde et cela me saoulait. Je n'étais pas à ma place dans ce genre d'évènement. Le maire, j'en avait rien à foutre et tout ce que je voyais était un petit enchaînement de catastrophe. Je ne souhaitais pas qu'il m'arrive la même chose.

Je me décidais alors à partir, faisant très attention. J'esquivais une serveuse, puis des danseurs un peu trop agité... Je voyais enfin la sortie de la plage, tout était ok quand... Un putain de serveur me renversa son plateau sur la gueule. Des petits fours... GENIAL ! Je grognais sans me retourner, me cassant de cette putain de fête de merde... Je voulais juste faire plaisir à une collègue... Tant pi...
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Sam 1 Aoû - 0:20
J'étais toujours contre Gabriel, j'entendis soudain mon téléphone sonner, c'était la musique tant connue de la reine des neiges. Pourquoi vous demanderez vous... Car c'est la sonnerie que j'ai mis pour ma soeur jumelle, vu que c'est son film préféré. Je me raclais la gorge et m'éloignais de l'homme après m'être remis sur mes pieds. Je décrochais alors tout en chantonnant cette chanson de merde qui entrait dans la tête des gens. Mais je me faisais froid en entendant la voix de ma petite soeur.

- Désolé soeurette, je suis pas disponible là... Quoi ? Attend... je rentre et je te rappelle...

Je soupirais en raccrochant, je me tournais vers Gabriel et lui fis un petit signe d'au revoir. Je me dirigeais rapidement vers la sortie de la plage tout en continuer à chanter joyeusement. J'avais même envie de faire la chorégraphie tien... Mais je me retins. Chanter du Disney était déjà assez ridicule pour moi. Je saluais quelques personnes au passage, puis arrivait enfin vers la fin de la plage. Je quittais cette dernière pour rentrer chez moi et pour enfin me reposer. Cette chanson ne me quittant toujours pas. Ah quelle soirée.
Anonymous
Jinzō Takeda
Super Admin' à votre service
Dim 2 Aoû - 15:48
Cigarette aux lèvres, il savourait chaque bouffée qu'il prenait, se moquant bien que cela puisse gêner les gens. Il se serait bien mis encore plus à l'écart, ou même carrément rentré chez lui, mais rester parfaitement isolé dans une telle soirée était non seulement compliqué mais en plus absolument pas discret...Tout le contraire de ce qu'il cherchait. Au moins, en restant où il était, cela ne faisait pas trop surveillance encore. Mais rapidement, trop rapidement sans doute, il termine sa cigarette et fait disparaître le mégot dans un cendrier de poche, vieille habitude de ne jamais laisser de traces.

Plus le temps passe et plus il hésite à s'en aller dès maintenant. Il ne serait pas content de savoir que le japonais était partit avant la fin mais il ne comprenait visiblement pas que le tout n'avait aucun intérêt. Il n'y avait rien à apprendre d'un tel rassemblement, si ce n'était qu'ils étaient encore plus stupides que supposés, nul besoin de les observer des heures pour cela. Finalement, il avance dans l'idée d'aller se débarrasser de son verre et quitter cette plage trop animée à son goût, croquant simplement l'olive qui y restait.

Le bruit ambiant et le sable étouffant les sons, il n'entend pas arriver une personne qui le percute assez violemment, sans doute courrait-elle à l'origine, manquant de le faire s'étouffer avec l'olive qu'il avait en bouche et le faisant tousser. Mais là où la plupart des gens paniquent ou se figent, lui cela l'énerve, ajouté bien sûr à l'agacement de ce temps perdu sur cette plage et ce qu'il s'était déjà passé, et sa main se referme avec force sur le bras de la personne concernée alors que son regard d'acier se pose sur elle. Il ne lui faut pas longtemps pour faire le lien entre sa course et les chaussures dans ses mains qui à l'évidence ne lui appartenait pas. Une rapide clé de bras et voilà que le voleur se retrouve obligé de lâcher les chaussures et se retrouve à genoux dans le sable, le bras tordu dans le dos. Assuré qu'il ne bougerait pas, Jin détourne son regard pour tomber sur le propriétaire supposé des chaussures non loin. Bien que la situation paraisse cocasse pour un observateur extérieur, lui ne manifeste pas plus de réaction que d'habitude quand ses yeux se pose sur le directeur de l'académie, si ce n'est son souffle un peu agité qui traduit le fait qu'il ait manqué de s'étouffer à cause de l'idiot à ses pieds.

-Bonsoir


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Jinzō Takeda
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Jungo B.D. Ghostfeller
Dim 2 Aoû - 17:48

Cette fête était nulle, cette soirée était nulle, cette journée même était nulle ! Et surtout, Cleeve était nul, voilà ! En tant normal, le petit norvégien serait arrivé en roulant des hanches pour dégager l'intrus qu'était le professeur de philosophie, mais il ne pouvait décemment pas se permettre quoique ce soit de ce genre alors que l'autre connaissait autant son visage que son identité. Pfeuh. Eh bien ! Lui qui voulait simplement être agréable avec l'autre professeur de musique en lui faisant grâce de sa présence et de sa compagnie ! Payé, certes, mais il aurait tout de même pu refuser. Pfff. Eh bien qu'il reste seul ou avec l'autre, tant pis pour lui, ça ne le concernait plus désormais.

La boule au ventre, la vipère aperçut son voisin de droite se lever certainement pour rentrer chez lui. Et il allait faire pareil. Tirant une grimace peut élégante en terminant son verre de punch, l'androgyne s'apprêtait à se lever lorsque le barman s'arrêta :

- Vous n'avez pas dû entendre mais ceci est pour vous. Je l'ai tiré à votre nom tout à l'heure !

Et c'est ainsi que le plus jeune se retrouva avec une bouteille de champagne dont la marque lui parlait dans les mains. Comme si ça allait lui donner envie de rester. Tch. Tant pis, ce serait un bon moyen de tirer Zack avec lui pour faire en sorte de ne pas se coucher complètement énervé. Alors, sautant de son tabouret, il fit demi-tour, bousculant quelqu'un en s’abîmant douloureusement l'épaule au passage avant de jeter un coup d'oeil en arrière à Cleeve. Mauvais, il tira son portable et lui envoya rapidement un message bref, sec, qui démontrait de toute sa mauvaise humeur avant de s'enfuir en direction du prochain bus :

- Amuse toi bien avec ton nouvel ami. Je rentre.

HRP : Jungo sort de l'event, amusez vous bien ♥ voici un résumé des groupes (merci Andrej pour ton fabuleux dessin xD)

Murphy/Nash/Griffin : prêt du stand de Murphy, entre la scène et le bar.
Maire/Gabriel : sur la scène ou derrière.
Ethan/Alexander/Jace : derrière le bar tels des poivrots.
Cleeve/Marius : devant le bar tels des ... personnes respectables qui s'amusent.
Liam : planqué derrière le buffet, seul.
Daniel/Màel : plantés devant la mer, pas hyper loin de Liam.
Asar/Kris : après la scène, au niveau des rochers, un peu en marge de la fête.
Jinzo/Altaïr : au bord de l'eau.
Hugo/Bonifacio : loin de la fête mais dans l'eau.

Noah/Naël/Jungo ont quitté l'event !


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Jungo B.D. Ghostfeller
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Dans un lit qui n'est pas le sien.

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Licence de criminologie et prostitué (un problème ?)

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Kris McGeyver
Super Admin' à votre service
Dim 2 Aoû - 17:54
Satisfait de la réponse de son homologue masculin, le tatoueur italien prit la direction du bord de la fête, s'écartant ainsi un peu de l'attroupement que formait la foule sans totalement disparaître de l'ambiance globale. Il faisait ainsi un peu plus frais et ils ne risquaient plus d'être bousculés pour tout et pour rien, ni de risquer une nouvelle fois la perte - ou plutôt le vol, appelons un chat, un chat - de son porte-feuille.

- Je n'espérais personne en particulier, je n'étais là que pour mon travail, renforcer d'éventuels liens pour de futurs contrats.

Eh bien, cela faisait un moment que Kris n'avait pas vu quelqu'un aussi saoulé d'une soirée que semblait l'être ce bel homme - bel est une précision importante vu comment Kris se sentait s'attarder sur son visage -. Mais alors qu'il allait tenter un trait d'humour dans le but de détendre son compagnon de la soirée, un cri retentit sur sa droite au moment où un ballon lui arriva en pleine figure. Le verre ou la gueule ? On sauve l'alcool en premier, toujours.
Le choc fut étonnement peu douloureux, bien qu'il dût se frotter l'arrête du nez en shootant dans l'objet pour le renvoyer à son destinataire qui s'excusait de loin. Mais le problème s'effaça bien vite au profit d'Asar qui toussait violemment, le forçant à se rapprocher pour lui tapoter le dos en cherchant à l'aider à respirer. Lorsqu'enfin l'olive tueuse sembla passé, Kris attrapa le verre de l'avocat sans lui demander son avis, le posant sur un rocher un peu plat avant de l'aider à se redresser correctement, cherchant sur son visage la moindre trace de suffocation ou de douleur :

- Cette soirée n'est définitivement pas bonne. Vous arrivez à respirer ? Est-ce que vous voulez que j'aille vous chercher de l'eau ?

Prévenant, l'italien repoussa une mèche qui semblait coller au visage de l'égyptien, reculant d'un pas pour lui laisser de l'air mais toujours en gardant ses sourcils légèrement froncés d'une inquiétude justifiée.


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Kris McGeyver
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Tatoueur et pierceur en pause

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