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C O N T R A S T E
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LIFELAM...Quel nom étrange pour une ville occidentale ! Nous sommes nous trompés d'endroit ? Mon GPS a-t-il un problème ? Détrompez-vous, vous êtes exactement là où vous souhaitez être... Gare où vous mettez les pieds et avec qui vous vous liez d'amitié. Votre existence sur cette île pourrait être lumineuse et heureuse comme beaucoup plus sombre et dramatique..."
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Invité
Invité
Ven 19 Jan - 20:14
C'est quoi ça, encore ? On lui pique son boulot ? Et mal, en plus de ça !

Leon est agacé, alors qu'il marche d'un pas décidé... mais en évitant comme d'habitude de trop observer les gens alentours. Il se dirige vers l'orée de la ville, vers la forêt qui lui est si familière. Il paraît qu'un type s'y est installé pour y vendre diverses choses, dont des remèdes miracles. « j'ai plus de bouton sur les fesses doc', vous devriez rendre visite à ce marchand ambulant ! ». Mais bien sûr Ysangrin, mais tes boutons de fesses ont migrés sur ta tronche et en plus maintenant t'as des pustules. Mais pas sur les fesses donc c'est que le remède marche. Toujours des gens pour croire aux médecins alternatives quand il n'y a que la saignée de vraie.
Si ça continue, non seulement des gens vont mourir en buvant des trucs étranges vendus par ce type, mais en plus il va lui-même perdre des clients. Hors de question. Il est comme tout le monde, il a besoin de manger malgré tout. Alors il prend son courage en main alors qu'il approche enfin de la roulotte qu'il aperçoit plus loin. Parler c'est compliqué. Surtout pour s'en prendre à quelqu'un.

Le temps de se motiver mentalement, il promène son regard curieux sur les divers objets exposés dans la boutique. Il n'y connaît rien en babioles comme ça. Mais il voit bien les flacons, dans un coin. Des conneries à boire pour les plus simples d'esprits persuadés qu'un vrai médecin ne leur serait pas utile. Ou qui n'ont pas les moyens d'en voir un. De l'arnaque, et en plus de l'abus de faiblesse. Beau tableau. Ce vendeur ne part pas de bien haut dans l'estime de Leon.

Avant de partir, il a prit soin de s'habiller chaudement et de mettre ses gants, au cas où il pleuvrait pendant la journée. Y'a la météo, et y'a aussi le fait qu'être bien protégé des intempéries lui donne l'impression d'être aussi un peu plus protégé si l'autre s'énerve.
Quand faut y aller, faut y aller.

- C'est vous, le vendeur de remède miracle ?

Oh, tiens, il est ravi : sa voix sonne bien assurée, bien mieux qu'il ne l'aurait cru. Il sourit à ce petit boost de confiance et indique une fiole, puis une autre.

- Indiquez-moi ce qu'il y a dans celle-ci, et dans celle-ci. Et ce que ça soigne. Je veux...

Mhhh... Un mensonge, vite.

- ... quelque chose d'utile pour ma femme.

Une femme, lui, quelle blague. Il en rougirait s'il n'était pas agacé par ce type. Il l'observe, pas impressionné. Il est pas bien plus grand que lui, pas spécialement costaud. C'est déjà rassurant. Il reste à le tester pour voir à quel point c'est un charlatant.

- Vous voyez, elle tombe souvent malade avec l'humidité. J'aimerais la protéger au mieux. Qu'avez-vous à proposer ?

Une bonne infusion de thym et romarin suffirait sûrement. Ou même d'autres plantes. Peut-être qu'il aurait dû mieux viser. Déjà qu'il n'est pas doué pour mentir et que l'autre l'a vu sourire, puis jouer au mari attristé... Pff.
Il est ridicule.
Anonymous
Danny Martel
Mer 24 Jan - 19:28
Une semaine, peut-être deux. Il était rare que Danny s’attarde plus longtemps dans un même endroit. Et pourtant, il y avait quelque chose au sujet de cette forêt qui lui donnait envie de rester. La lumière doucement filtrée par la cime des arbres, l’odeur des excréments moins forte qu’au centre du village. Pas un seigneur suffisamment intéressé par ses activités pour faire saccager son étale, sans parler de la vache qui n’avait de cesse de rendre du lait.

Quel commerçant aurait voulu quitter cet endroit ? Pourtant le moment approchait et il n’était pas sans savoir que ses prescriptions avaient atteint leur limite. Le traitement arrivant à sa fin, le premier « malade » ne tarderait sans doute pas à se présenter avec son lot de réclamations. Et bien évidemment, l’apothicaire se ferait un plaisir de ne pas être là pour l’accueillir.

Sur sa devanture (ou plutôt la façade de son embarcation), « Philistin » dans une peinture rincée au premier passage de la pluie. A l’intérieur, au milieu des fioles et plantes, pas une seule étiquette. Volonté d’intimider le consommateur, de pouvoir nier les faits en cas de besoin ou tout simplement car de toute manière il ne savait pas lire, de toute manière, le parchemin n’était pas une ressource qu’il pouvait s’offrir.

Enfin, en ce dernier jour, il avait bien la place pour un personne de plus à duper et voyant un homme trop bien habillé pour être un simple paysan entrer dans son étale, son visage s’illumina aussitôt. Son manteau blanc parfaitement ajusté pour dissimuler les parties raccommodées, il laissa le client se risquer à une première question, y répondant sans peine.

« Je ne suis peut-être pas le seul mais vous faites bon étalage de ma réputation. »

A l’entendre, il ne semblait pas encore avoir franchi le cap où cette appellation devenait une accusation. En ce sens, il ne voyait ni fourche, ni torche dans ses mains. Ce n’était pas la première fois qu’un client souhaitait être renseigné sur le contenu d’un produit, sauf qu’en général, il attendait que l’apothicaire ait fait son choix.

Intimidé, peut-être ? Danny lui sourit, évitant soigneusement les bouteilles désignées par son invité pour sélectionner un autre flacon dont les imperfections cachaient difficilement l’allure terne du breuvage.

« Clou de girofle, safran, sucre et quelques autres Pour profiter de tous ses effets, je vous suggère de porter le breuvage à ébullition. »

« Chou, pomme de terre, carotte. Rien ne vaut une bonne soupe pour un estomac fragile. »

Pas de quoi condamner une femme facilement malade, pas de quoi la sauver. Il restait important de mentionner les ingrédients couteux imaginaires puisqu’ils devaient justifier le prix excessif du breuvage.

« Mais voyez-vous mes produits sont tout particulièrement efficaces dans l’art de la beauté. Un teint plus pâle, des cheveux plus longs, peut-être un meilleur entretien de ses formes ? »

Et là se trouvait son vrai marché. La conscience était toujours meilleure à faire payer pour des choses qui étaient réellement sans importance. Et justement, Danny se dressa pour attraper sur une étagère un flacon plus petit, gorgé de paillettes. De la poussière de bronze gratté sur des pièces de monnaie mais pour le commerce, mieux valait dire :

« De la véritable poussière d’or mais l’ingrédient principal n’est pas de plus conventionnel. »

Le mot « magie » avait sa place dans un monde accueillant des dragons mais face à des avis partagé sur la question, Danny décida de ne pas trop se mouiller, se contentant de rajouter après être venu chercher les mains de son client pour enlacer ses mains autour du flacon.

« Qu’importe les saisons ou sa maladie, je vous garantie que votre femme remplira les plus amples de ses robes. Ses rondeurs feront pâlir. »


Danny s'exprime en #339933
Mais ce qu'il meurt d'envie de dire sera en Courier new

Danny Martel
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17/07/1998

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Petits plus ? :

Invité
Invité
Sam 27 Jan - 18:39
Tiens, l'homme ne semble pas douter de sa sincérité. Sûrement que la colère aide Leon à mieux mentir, au moins pour l'instant. Il offre un sourire au jeune homme face à lui, tenant sa langue quand il lui propose un flacon contenant selon lui de quoi calmer les soucis de sa femme imaginaire. Des jolis noms, des épices rares et chères pour attirer le client. Le -vrai- médecin mettrait sa main au feu que le liquide ne contient rien de tout ça. Il réfléchit à comment confronter le charlatan, mais la suite le surprend et il hausse les sourcils d'un air confus. Le voilà qui parle des formes de sa partenaire et de sa beauté. S'il savait à quel point tout ceci n'intéresse pas Leon, même hors de ce contexte. Lui qui préfère les muscles aiguisés des soldats...

Enfin, bref.
Il l'écoute, patiemment, jusqu'à la fin.
Oh, il faut bien dire que le flacon qu'il a sorti est joli, oui.

- Quel joli grigri pour un tel escroc.

Il hausse une épaule, et fixe l'homme avec un regard qui dénonce cette fois sa colère et son ressentiment face à lui. Le théâtre n'est pas sa tasse de thé, jouer un rôle encore moins, alors il choisit de vite briser le masque pour confronter le jeune homme.

- Si des gens choisissent de se faire avoir par quelque chose de si ridicule, je m'en moque. Mais j'ai perdu des patients fidèles qui se sont persuadés que vos remèdes à base de poudre de perlimpinpin fonctionnent mieux que ce que je peux leur proposer.

Et car il n'a pas peur de ce garçon qu'il devine bien plus jeune que lui, Leon continue en faisant un sourire presque proche de la grimace.

- Je suis Leon Bellingham, un des médecins de cette ville. Et j'en ai assez des charlatans comme vous.

Il secoue la tête pour appuyer sa fatigue. Il ne montre aucun signe de violence puisque l'idée de frapper quelqu'un ne lui est jamais venu à l'esprit (à part quelqu'un qui a besoin d'être maintenu éveillé dans le cadre de la médecine, à la limite...) et qu'il ne règle de toute façon pas ses problèmes en tapant. Mais il veut juste...

Quoi en fait ?..
Un type qui arnaque a sûrement déjà eu son lot de plaintes.
Comprendre, peut-être.

- Vous n'avez aucune morale, c'est ça ? Qui sait ce que vous mettez dans vos soi-disant antidotes ? Combien de gens avez-vous tué en leur donnant une chose à laquelle ils sont allergiques ou en les convaincant de ne pas voir un vrai docteur pour un traitement qu'ils doivent recevoir en urgence ?

Il observe la fiole qui est désormais entre ses mains, avec ses paillettes. Oh, c'est beau hein. Mais il connaît pas grand chose qui soit à la fois pailleté et utile à la médecine. Une sangsue, c'est moche. Un onguent, c'est moche en plus de souvent sentir mauvais. Faire une saignée, c'est moche aussi. Un jour viendra peut-être où les gens mettront de côté l'apparence des choses pour préférer leur efficacité.

- Qu'avez-vous mis là-dedans ? Vous ne craignez pas d'être considéré comme sorcier par la milice locale ? J'en connais certains, et je doute qu'ils apprécieraient vous savoir aussi près de la ville...

Cette fois, son ton sous-entend une menace. Une menace vaine puisque Leon n'a pas vraiment de moyen de contacter Michael par lui-même, mais ça le type en face de lui n'a pas besoin de le savoir. S'il est jeune, lui faire peur avec les autorités suffira peut-être. Le tout... le tout serait que l'autre ne panique pas au point de vouloir se débarrasser de lui, de ce témoin gênant dans sa supercherie.
Pendant un instant, Leon se tend et jette un regard presque effrayé vers l'autre avant de le durcir de nouveau.

Il s'angoisse tout seul, encore une fois.
Et puis même s'il n'est pas fort, il l'est sûrement plus que ce gars-là.

La question qu'il se pose maintenant, c'est s'il a vu la peur dans son regard pendant ces quelques secondes. Il pourrait en jouer.
Anonymous
Danny Martel
Sam 3 Fév - 19:36
Danny n’était pas peu fier de sa mise en scène. Qu’il s’agisse de l’éclairage tamisé à la lueur de quelques bougies ou des planches sombres et parfaitement compactes composant son plafond, une ambiance presque mystique planait, accentuée par les imperfections du bois simulant une sorte de voute dont on ne pouvait deviner le bout.

Sa belle gueule et son éloquence étaient tant d’outils parmi d’autres, qui ne l’empêchaient pas, de temps à autres, d’être traité d’escroc. Comme à cet instant. Dans un premier temps, il trouva l’appellation un peu osée. Venant de celui qui, ne se privant pas d’un habit de qualité, était tout de même venu trouver ce vendeur de babioles pour venir en aide à sa femme plutôt qu’un vrai médecin, c’était à s’interroger sur le sens de ses priorités.

Ces accusations n’en restaient pas moins… modérées. Ses prédécesseurs ne s’étaient jamais privés de s’armer d’un champ lexical mêlant excréments et divinité. Attentif et intrigué par ces relatives bonnes manières, Danny lui prêta donc une oreille curieuse. Où ces inepties allaient-elles le mener ?

Dans un premier temps, à quel point avait-il conscience de l’escroquerie ? L’accusation était-elle lancée au hasard au détour d’un flacon comme le ferait un malotru sur une place de marché ? Mais pour quoi faire lorsqu’il n’y avait que l’escroc pour l’entendre ? Et soudain lui vint une partie de l’explication. Un sourire étira de nouveau ses lèvres, cette fois légèrement moqueur alors que son regard se prenait d’orgueil.

« Si un escroc vous a volé vos patients, vous ne devez pas être un très bon médecin. »

Danny n’avait pas encore décidé de la tournure exacte qu’allait prendre son discours. Continuer de nier n’aurait pas grand intérêt considérant son départ prochain, toutefois il n’était pas de ceux qui se privaient lorsqu’une distraction pointait le bout de son nez. Et une chose était claire.

Ce vieil homme était venu jusqu’à lui, jusque dans ce véhicule installé en bordure de forêt. Avait sans doute salit ses bottes, laissé ses patients en plant et le tout sans prévenir le moindre garde ? Sir Leon ne disait pas tout et à sa grimace, Danny ne put se retenir de contourner doucement le médecin pour venir poser ses mains sur ses épaules, un geste soudain, visant à le faire sursauter qui se changea bien vite en une sorte de massage compatissant.

« Nous avons tous nos moments de faiblesse. Je ne devrais pas avoir à vous suggérer de vous ménager à votre âge. »

« C’est toujours un plaisir de rencontrer ses admirateurs, même s’ils ne sont pas tous prêts à le reconnaître. »

Danny arborait le calme olympien de l’impunité. Ses mains toujours sur les épaules de ce cher vieux Leon, il en toisait les dangers, tous mineurs. Il se savait grand mais dominer légèrement de sa hauteur ce genre de tempérament anxieux restait pour lui un plaisir vicieux.

Tel un chat examinant sa proie, le brun relâcha finalement ces épaules pour retourner à ses flacons, comme si soudain le médecin n’existait plus, ramené à un de ces meubles ou ce panier en osier suspendu dans un coin. Son sourire demeurait toutefois, paisiblement installé. Les menaces et attaques à sa morale le laissaient de marbre.

« J’ai vu plus de personnes s’étouffer avec une pomme de terre que mourrir d’en avoir bu un potage. Si vous m’aviez laissé finir, vous sauriez que mes produits les plus exotiques ne s’avalent pas. » Il ouvrit un des dits flacons pour en déposer quelques gouttes sur son propre poignet. A l’instant où il en frotta la surface, un parfum légèrement mentholé se répandit dans la pièce. « Usage cutané. »

Et il ne savait pas ce qu’était une allergie. Encore un truc de nobles qu’eux paysans ne devaient pas vivre suffisamment longtemps pour connaître. Ses poignets parfumés, il reposa le flacon pour s’approcher à nouveau du médecin qui n’étaient sans doute pas venu au hasard.

« Et puis, le cas de votre femme était-il urgent ? Ceux qui viennent à ma rencontre sont de deux natures. Les premiers, qui ne sont pas pressés par le temps et les seconds, qui n’ont tout simplement pas les moyens de voir les gens comme… vous. »

Ce dernier mot fut presque soufflé alors que Danny était revenu au plus près. Cette peur, il l’avait vu et elle l’intriguait. Une leçon de moral venant de ce genre d’élite avait peu de chance d’avoir le moindre impact sur lui. Et s’il fournissait de réelles herbes médicinales aux plus démunis, il n’était pas non plus du genre à le crier sur les toits. Loin de vouloir se faire passer pour une « bonne personne », il entendait au moins limiter l’idiotie qu’on lui prêtait.

« Mais vous, justement, parlons-en. Féru de justice, vous vous êtes aventuré, seul en bordure de forêt auprès d’un individu potentiellement dangereux pour l’avertir de votre intention de le livrer aux gardes, sans être accompagné du moindre garde. »

En soit, il aurait eu d’autres options, le dénoncer anonymement, ou en personne et les laisser faire ou même les accompagner pour les regarder mettre son commerce à sac avec la satisfaction de voir tomber un « rival ». Pourtant aucune de ces options n’avaient été choisie par le médecin. Le bras l’apothicaire posé contre une des étagères laissait peu d’espace à Léon, pris en étaux dans cette roulotte à l’unique couloir déjà resserré par les étagères. Ses lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres de son oreille.

« Certains iraient penser, que c’est le danger que vous cherchez. »


Danny s'exprime en #339933
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The Lord
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