:: Académie de Lifelam :: Bâtiment principal :: Sous-sol Bow and pray to us all, for you have been chosen. [Pv:Kwon]
Jeu 21 Sep - 23:00
Il y avait un temps pour observer et un temps pour tourner des talons. Danny ne vivait pas une vie de tout repos. Entouré en permanence de tous ces riches, il en était tout de même venu à banaliser certains comportements qui lui auraient décroché la mâchoire à une époque. Les choix proposés à la cafétéria, le coach sportif personnel qui venait fournir ses bons conseils à certains étudiants directement sur le campus, jusqu’à un de ses camarades ayant plaidé son retard à coup de « l’hélicoptère a tardé à décoller avec la météo ».
Non, Danny ne vrillait plus aussi facilement, il n’y faisait plus tellement attention, tant que la distance était assurée. Tant que la distance était assurée. Tant. Que. La. Distance… Bon, ok, c’était quoi cette enveloppe ? Laissée directement dans son sac, l’épaisseur du papier laissant penser que toute la forêt voisine y était passée et un cachet rouge à la forme si abstraite qu’il n’aurait pas été surpris d’entendre un psy lui demander son avis.
Sans aucune doute, quelqu’un tentait d’établir le contact. Et cela expliquait peut-être les quelques évènements récemment sortis de cet ordinaire peu ordinaire. A commencer peut-être par ces combinaisons de lettres laissées dans la buée de la salle de bain. Le chemin de clous dressés à la sortie des vestiaires de la piscine. Le masque tribal posé sur sa lampe de chevet. Ou encore la tête de cheval sectionnée, laissée à se vider de son sang dans ses draps. Bon, peut-être pas le dernier.
Dans tous les cas, tous ces « indices », « codes », « cartes » voir carrément « chemins » qu’il avait pu trouver, Danny les avaient consciencieusement évités. Déjà qu’il se privait de croiser trop de monde, son instinct lui disait que s’il avait du mal avec les gosses de riches, il ne serait certainement pas en meilleur compagnie entre les excentriques de cette même population. Pour ne pas dire l’aile sous haute sécurité d’un hôpital psychiatrique.
Ce jeu aurait encore pu durer longtemps. Un regard de côté, une parade physique, ses yeux se levant au ciel pour prétendre n’avoir rien vu de la rivière de bougies pour l’accueillir après une sortie nocturne. Même bornés, ils allaient se résigner, passer à quelqu’un d’autre ou se satisfaire d’un innocent qui suivrait docilement les miettes de pain.
Et d’ailleurs pourquoi tout ce cirque ? Il n’y avait jamais vraiment d’acte, les mises en scènes ressemblaient à un jeu. Etait-on en train de le menacer ou de lui demander à faire copain, copain ? Il craignait également de savoir qui exactement. Certes, il appréciait un peu d’attention ces derniers temps mais peut-être pas au point d’imaginer un de ses camarades l’épier avec des yeux brillants en notant dans son journal intime comment ce maladroit de Rodrick avait une fois de plus manqué son cadeau.
Surtout, il espérait qu’ils soient plusieurs. Qu’un seul fournisse l’ensemble de ces efforts était… terriblement angoissant et un coup à se retrouver empaillé, habillé de dentelle.
La dernière anecdote de ce goût là ? Elle n’était pas tout à fait close car en sortant d’un bar ce soir, et au moment de monter dans un taxi et Danny eut le plaisir d’y trouver un sac noir sur sa tête et probablement un produit à l’intérieur pour lui calmer les nerfs. A moins que son cerveau sous le choc n’ait eu le réflexe d’un oiseau en cage. Mais très sincèrement, sur le coup, il ne songea pas à toutes ces attentions, la première chose à lui venir en tête fut simplement.
C’est bon, quelqu’un en a eu marre de mes conneries et est venu me buter.
Non, Danny ne vrillait plus aussi facilement, il n’y faisait plus tellement attention, tant que la distance était assurée. Tant que la distance était assurée. Tant. Que. La. Distance… Bon, ok, c’était quoi cette enveloppe ? Laissée directement dans son sac, l’épaisseur du papier laissant penser que toute la forêt voisine y était passée et un cachet rouge à la forme si abstraite qu’il n’aurait pas été surpris d’entendre un psy lui demander son avis.
Sans aucune doute, quelqu’un tentait d’établir le contact. Et cela expliquait peut-être les quelques évènements récemment sortis de cet ordinaire peu ordinaire. A commencer peut-être par ces combinaisons de lettres laissées dans la buée de la salle de bain. Le chemin de clous dressés à la sortie des vestiaires de la piscine. Le masque tribal posé sur sa lampe de chevet. Ou encore la tête de cheval sectionnée, laissée à se vider de son sang dans ses draps. Bon, peut-être pas le dernier.
Dans tous les cas, tous ces « indices », « codes », « cartes » voir carrément « chemins » qu’il avait pu trouver, Danny les avaient consciencieusement évités. Déjà qu’il se privait de croiser trop de monde, son instinct lui disait que s’il avait du mal avec les gosses de riches, il ne serait certainement pas en meilleur compagnie entre les excentriques de cette même population. Pour ne pas dire l’aile sous haute sécurité d’un hôpital psychiatrique.
Ce jeu aurait encore pu durer longtemps. Un regard de côté, une parade physique, ses yeux se levant au ciel pour prétendre n’avoir rien vu de la rivière de bougies pour l’accueillir après une sortie nocturne. Même bornés, ils allaient se résigner, passer à quelqu’un d’autre ou se satisfaire d’un innocent qui suivrait docilement les miettes de pain.
Et d’ailleurs pourquoi tout ce cirque ? Il n’y avait jamais vraiment d’acte, les mises en scènes ressemblaient à un jeu. Etait-on en train de le menacer ou de lui demander à faire copain, copain ? Il craignait également de savoir qui exactement. Certes, il appréciait un peu d’attention ces derniers temps mais peut-être pas au point d’imaginer un de ses camarades l’épier avec des yeux brillants en notant dans son journal intime comment ce maladroit de Rodrick avait une fois de plus manqué son cadeau.
Surtout, il espérait qu’ils soient plusieurs. Qu’un seul fournisse l’ensemble de ces efforts était… terriblement angoissant et un coup à se retrouver empaillé, habillé de dentelle.
La dernière anecdote de ce goût là ? Elle n’était pas tout à fait close car en sortant d’un bar ce soir, et au moment de monter dans un taxi et Danny eut le plaisir d’y trouver un sac noir sur sa tête et probablement un produit à l’intérieur pour lui calmer les nerfs. A moins que son cerveau sous le choc n’ait eu le réflexe d’un oiseau en cage. Mais très sincèrement, sur le coup, il ne songea pas à toutes ces attentions, la première chose à lui venir en tête fut simplement.
C’est bon, quelqu’un en a eu marre de mes conneries et est venu me buter.
Danny s'exprime en #339933
Mais ce qu'il meurt d'envie de dire sera en Courier new
Jeu 5 Oct - 18:08
- On l'prend.
C'était décidé.
Ça trainait depuis un moment, cette envie de recruter du nouveau. Du bleu. De la chair fraîche. Qui dit société secrète (si tant est qu'on puisse appeler ça comme ça), dit membres incroyables, mystérieux, exceptionnels ! Et généralement, blindés de tune. Sauf que le problème quand on étudie à l'université de Lifelam, c'est que plus de la moitié de la population environnante, appartenaient aux catégories sus-nommés. Cela compliquait la tâche et pas qu'un peu, à en croire le froncement de sourcils agacés du pseudo président de l'association.
La liste s'était considérablement raccourcie sur les étudiants qui pouvaient constituer des atouts plus que majeurs à leur "fraternité". Membres de la noblesse, famille de CEO très influents, parents de chef des forces armées... Tout ce qui pouvait avoir un impact politique positif était passé au peigne fin. Et leur proie du jour avait été mis au devant de la scène.
Ce cher Rodrick.
Un garçon incroyable, brillant par ... son ... homophobie ? Ouais, Kwon avait un peu haussé un sourcil à l'annonce du prénom. C'était clairement pas par là qu'il aurait été mais ... disons que si le coréen ne cachait pas ses préférences sexuelles et amoureuses, il n'était pas de ceux qui revendiquaient à tord et à travers comme militant pour les causes. Il préférait observer depuis son trône, avec ses yeux de serpent qui ne loupaient rien. Même en tant que cadet de la fraternité, il avait été inclus sans mal dans les décisions, ce que le jeune homme calme et beaucoup trop intelligent pour son propre bien s'était empressé d'investir avec le plus grand soin. Des grands pour des grands projets. Kwon aimait le spectacle.
C'est pour ça que lorsque la voiture arriva sur le parking d'une usine désaffecté, il ne put s'empêcher de lâcher un vague rire moqueur. Easy. L'autre gars était dans le déni des bougies ? Un kidnapping le réveillera.
- Bienvenue, bienvenue ... Aujourd'hui est le temps des jeux, des cris et des tourments. Vous vous demandez sans doute pourquoi vous êtes ici ... encapuchonnés, attachés ... Tremblant visiblement, est-ce qu'il s'est vraiment pissé dessus ?
L'une des deux futures recrues présentes arboraient une tâche à son entrejambe qui fit froncer le museau du rosé, d'un rire qu'il contint sans peine.
- Anyway. Vous allez rentrer là dedans, suivre un certain parcours, concourir pour des épreuves et surtout essayer de ne pas mourir. La faucheuse vous montrera le chemin.
Les deux victimes furent poussées et enfermées à l'intérieur du bâtiment alors que la silhouette désormais déguisée et encapuchonnée de Kwon se glissait vers un escalier pour atteindre une plateforme en hauteur qui surplombait les lieux. Sa fausse faux sur l'épaule, il attendit que les deux se débarrassent de leurs cagoules (les liens de leurs poignets ayant été préalablement rompus) pour leur montrer avec une lenteur démesurée la porte en face d'eux où un sanglant "courrez le plus vite possible" était inscrit.
C'était décidé.
Ça trainait depuis un moment, cette envie de recruter du nouveau. Du bleu. De la chair fraîche. Qui dit société secrète (si tant est qu'on puisse appeler ça comme ça), dit membres incroyables, mystérieux, exceptionnels ! Et généralement, blindés de tune. Sauf que le problème quand on étudie à l'université de Lifelam, c'est que plus de la moitié de la population environnante, appartenaient aux catégories sus-nommés. Cela compliquait la tâche et pas qu'un peu, à en croire le froncement de sourcils agacés du pseudo président de l'association.
La liste s'était considérablement raccourcie sur les étudiants qui pouvaient constituer des atouts plus que majeurs à leur "fraternité". Membres de la noblesse, famille de CEO très influents, parents de chef des forces armées... Tout ce qui pouvait avoir un impact politique positif était passé au peigne fin. Et leur proie du jour avait été mis au devant de la scène.
Ce cher Rodrick.
Un garçon incroyable, brillant par ... son ... homophobie ? Ouais, Kwon avait un peu haussé un sourcil à l'annonce du prénom. C'était clairement pas par là qu'il aurait été mais ... disons que si le coréen ne cachait pas ses préférences sexuelles et amoureuses, il n'était pas de ceux qui revendiquaient à tord et à travers comme militant pour les causes. Il préférait observer depuis son trône, avec ses yeux de serpent qui ne loupaient rien. Même en tant que cadet de la fraternité, il avait été inclus sans mal dans les décisions, ce que le jeune homme calme et beaucoup trop intelligent pour son propre bien s'était empressé d'investir avec le plus grand soin. Des grands pour des grands projets. Kwon aimait le spectacle.
C'est pour ça que lorsque la voiture arriva sur le parking d'une usine désaffecté, il ne put s'empêcher de lâcher un vague rire moqueur. Easy. L'autre gars était dans le déni des bougies ? Un kidnapping le réveillera.
- Bienvenue, bienvenue ... Aujourd'hui est le temps des jeux, des cris et des tourments. Vous vous demandez sans doute pourquoi vous êtes ici ... encapuchonnés, attachés ... Tremblant visiblement, est-ce qu'il s'est vraiment pissé dessus ?
L'une des deux futures recrues présentes arboraient une tâche à son entrejambe qui fit froncer le museau du rosé, d'un rire qu'il contint sans peine.
- Anyway. Vous allez rentrer là dedans, suivre un certain parcours, concourir pour des épreuves et surtout essayer de ne pas mourir. La faucheuse vous montrera le chemin.
Les deux victimes furent poussées et enfermées à l'intérieur du bâtiment alors que la silhouette désormais déguisée et encapuchonnée de Kwon se glissait vers un escalier pour atteindre une plateforme en hauteur qui surplombait les lieux. Sa fausse faux sur l'épaule, il attendit que les deux se débarrassent de leurs cagoules (les liens de leurs poignets ayant été préalablement rompus) pour leur montrer avec une lenteur démesurée la porte en face d'eux où un sanglant "courrez le plus vite possible" était inscrit.
en bref
Messages : 311
Date de naissance : 25/05/2001
Age : 23
Emploi/loisirs : Licence d'Art
Petits plus ? : www
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Ven 13 Oct - 23:44
Est-ce qu’on vouvoyait ses otages quand ils étaient d’un certain standing ? Son sac encore sur la tête, Danny prêta attention au discours et s’étonnait de ne pas entendre des divagations résolues sur : pourquoi on va te tuer ce soir.
Manque de chance, pas d’incitations à la haine ou de déclarations de guerre au menu, simplement beaucoup de paillettes et de toupet. A croire que la tension était retombée dans la voiture avant de s’écrouler. Si « l’orateur » pouvait probablement l’accuser de trembler pour faire monter la tension, la seconde remarque fut plus blessante et il la prit un instant pour lui avant de se rendre compte que plus simplement il n’était pas tout seul ?
Or, s’ils étaient deux, ce pouvait difficilement être personnel ce qui écartait déjà la possibilité d’une rancoeur personnelle. Certes, il était question de courir et de survivre. Mais tandis que le temps passait Danny se faisait curieux. Finalement, cette cagoule ne lui convenait pas tant que cela ? Quelle faucheuse d’ailleurs ?
Être libre de ses mouvements n’était peut-être pas le meilleur des signes mais Danny saisit cette opportunité pour enfin se défaire de sa cagoule et regarder autour de lui cet espace pourtant visuellement propice à l’abandon d’un cadavre. Calme, il fallait l’être pour se sortir d’une situation potentiellement mortelle et sans connaître l’auteur ou ses motivations, mieux valait rester méfiant. Même lui avait regardé Squid Game et en général c’était les pauvres que l’on sacrifiait.
A ses côtés, son « camarade d’infortune » avait encore ce stupide sac sur la tête et les bras le long de son corps comme s’il était tenu en joue. Il ne fut pas difficile de deviner qu’il était celui qui s’était oublié et comme il semblait jouer au mort « debout », ce fut Danny qui tira sur le sac pour lui libérer la tête. Et comme il s’en doutait, avec sa petite tête blonde, c’était bien un autre riche, ses vêtements le criaient déjà mais ses bijoux étaient loin d’être en reste.
« N… Ne me touche pas ! »
Un coup se perdit, si maladroit que le brun n’eut aucune peine à l’éviter. En réponse, il releva les mains, plaçant en évidence les deux sac à présent en main.
« Du calme, team sac, tu vois ? »
Si cette mention sembla dissuader la flipette d’essayer à nouveau de s’en prendre à lui,elle il commença à faire les cents pas, sans oser fouiller l’espace du regard, les mains tremblantes et le regard instable, c’était à se demander s’il allait tenir plus de cinq minutes avant de faire un malaise.
« Ils… Ils ont mis une putain de tête de cochon dans mon lit ! »
« Sans déconner.»
Une tête de cochon ? Voilà qui rappelait à Danny une référence cinématographique mais il n’eut pas le temps de mettre la main dessus que son compagnon d’infortune s’immobilisa, les yeux relevés vers ce qui semblait être une personne, pointant vers un message.
« La faucheuse. »
Courir, il pouvait courir mais avait-il envie de le faire ? Le danger ne semblait pas immédiat, même s’il existait bien un risque. On envoyait pas des gosses de riche au casse-pipe pour se faire plaisir, il devait y avoir une raison derrière et il aurait été bon d’analyser la situation en premier lieu. Ne pas jouer leur ferait gagner du temps.
« Commençons par... »
Puis il y eut ce regard, celui lui rappelant les instructions précédemment données, dégoulinant d’une culpabilité très vite ravalée. « Concourir », lui aussi l’avait entendu mais seul un idiot ne penserait pas à l’entraide dans un moment pareil. Un égoïste aurait au moins fait semblant.
« Oh no you won’t »
Et pourtant, voilà le pisseux qui se mettait à détaler comme un lapin en direction de l’écriture ensanglantée. Evidemment, Danny suivit, lâchant les sacs par terre. Ce n’était pas car il peinait à identifier le danger qu’il allait prendre le risque. Même si l’envie d’insulter toute la famille du lapin était tentante, cet idiot courrait vite et il fallait au moins garder son souffle pour le rattraper.
Manque de chance, pas d’incitations à la haine ou de déclarations de guerre au menu, simplement beaucoup de paillettes et de toupet. A croire que la tension était retombée dans la voiture avant de s’écrouler. Si « l’orateur » pouvait probablement l’accuser de trembler pour faire monter la tension, la seconde remarque fut plus blessante et il la prit un instant pour lui avant de se rendre compte que plus simplement il n’était pas tout seul ?
Or, s’ils étaient deux, ce pouvait difficilement être personnel ce qui écartait déjà la possibilité d’une rancoeur personnelle. Certes, il était question de courir et de survivre. Mais tandis que le temps passait Danny se faisait curieux. Finalement, cette cagoule ne lui convenait pas tant que cela ? Quelle faucheuse d’ailleurs ?
Être libre de ses mouvements n’était peut-être pas le meilleur des signes mais Danny saisit cette opportunité pour enfin se défaire de sa cagoule et regarder autour de lui cet espace pourtant visuellement propice à l’abandon d’un cadavre. Calme, il fallait l’être pour se sortir d’une situation potentiellement mortelle et sans connaître l’auteur ou ses motivations, mieux valait rester méfiant. Même lui avait regardé Squid Game et en général c’était les pauvres que l’on sacrifiait.
A ses côtés, son « camarade d’infortune » avait encore ce stupide sac sur la tête et les bras le long de son corps comme s’il était tenu en joue. Il ne fut pas difficile de deviner qu’il était celui qui s’était oublié et comme il semblait jouer au mort « debout », ce fut Danny qui tira sur le sac pour lui libérer la tête. Et comme il s’en doutait, avec sa petite tête blonde, c’était bien un autre riche, ses vêtements le criaient déjà mais ses bijoux étaient loin d’être en reste.
« N… Ne me touche pas ! »
Un coup se perdit, si maladroit que le brun n’eut aucune peine à l’éviter. En réponse, il releva les mains, plaçant en évidence les deux sac à présent en main.
« Du calme, team sac, tu vois ? »
Si cette mention sembla dissuader la flipette d’essayer à nouveau de s’en prendre à lui,
« Ils… Ils ont mis une putain de tête de cochon dans mon lit ! »
« Sans déconner.»
Une tête de cochon ? Voilà qui rappelait à Danny une référence cinématographique mais il n’eut pas le temps de mettre la main dessus que son compagnon d’infortune s’immobilisa, les yeux relevés vers ce qui semblait être une personne, pointant vers un message.
« La faucheuse. »
Courir, il pouvait courir mais avait-il envie de le faire ? Le danger ne semblait pas immédiat, même s’il existait bien un risque. On envoyait pas des gosses de riche au casse-pipe pour se faire plaisir, il devait y avoir une raison derrière et il aurait été bon d’analyser la situation en premier lieu. Ne pas jouer leur ferait gagner du temps.
« Commençons par... »
Puis il y eut ce regard, celui lui rappelant les instructions précédemment données, dégoulinant d’une culpabilité très vite ravalée. « Concourir », lui aussi l’avait entendu mais seul un idiot ne penserait pas à l’entraide dans un moment pareil. Un égoïste aurait au moins fait semblant.
« Oh no you won’t »
- Traduction:
- « Non tu n’oseras pas »
Et pourtant, voilà le pisseux qui se mettait à détaler comme un lapin en direction de l’écriture ensanglantée. Evidemment, Danny suivit, lâchant les sacs par terre. Ce n’était pas car il peinait à identifier le danger qu’il allait prendre le risque. Même si l’envie d’insulter toute la famille du lapin était tentante, cet idiot courrait vite et il fallait au moins garder son souffle pour le rattraper.
Danny s'exprime en #339933
Mais ce qu'il meurt d'envie de dire sera en Courier new
Dim 14 Jan - 14:05
Du haut de son piédestal, la faucheuse s'amusa de la peur que le jeu avait provoqué chez leurs nouveaux venus. Sa main gantée allant et venant sur le manche de sa faux légère (fallait pas exagérer quand même, réaliste peut-être mais une vrai arme certainement pas). Kwon les regarda détaler comme deux lapereaux apeurés, toute son attention davantage fixé sur l'un que sur l'autre. Il était quasiment sûr que si ce cher Charles était resté un tant soit peu calme, son camarade aurait pu élaborer une stratégie sans avoir à suivre les inscriptions sanglantes.
Réfractaire ?
Certainement, c'était aussi pour son petit côté "rebelle" bien marrant qu'il avait été choisi.
Deux proies, un futur prédateur.
La faucheuse fit demi-tour, traversant les conduits couloirs du haut de son étage pour rejoindre ses jouets dans la prochaine pièce. Sans parler toujours, sa faucheuse courut sur les rembarres en métal qui le sauvegardaient d'une chute bien douloureuse si ce n'est, fatale. Le bruit crissant provoqué par son mouvement fit chouiner le blondinet qui s'était immobilisé au milieu de la salle alors que les vieux gonds se refermaient derrière eux.
Prison en métal avec une cuve sifflante au milieu.
La faucheuse s'arrêta bien en vue sous un projecteur attendant qu'on lui accorde l'attention qui lui était due.
De toute manière, si ils ne les faisaient pas vite, ils allaient avoir le plaisir de se prendre les deux sauts de faux sangs qui pendaient au-dessus de leurs têtes, dans la figure. Ses camarades cachés derrière de gros tuyaux pour rester invisibles, ne tardèrent pas à activer lesdits sauts. Visiblement, l'envie d'attendre n'était pas présente. Le liquide dégringola, s'écrasant dans un grand "splash" sur les deux participants.
Kwon retint difficilement son rire, attendant que le blond ait fini de s'égosiller dans tous les sens, à deux doigts de s'évanouir, pour pointer une autre inscription en faux sang, cette fois sur la cuve centrale.
"Fouillez et vous gagnerez".
Un vainqueur. Une boite seulement. Dans la cuve.
Entourée de dizaine de corps rampant et sifflant, écailleux et couverts d'écailles. La suite allait être appréciable.
Réfractaire ?
Certainement, c'était aussi pour son petit côté "rebelle" bien marrant qu'il avait été choisi.
Deux proies, un futur prédateur.
La faucheuse fit demi-tour, traversant les conduits couloirs du haut de son étage pour rejoindre ses jouets dans la prochaine pièce. Sans parler toujours, sa faucheuse courut sur les rembarres en métal qui le sauvegardaient d'une chute bien douloureuse si ce n'est, fatale. Le bruit crissant provoqué par son mouvement fit chouiner le blondinet qui s'était immobilisé au milieu de la salle alors que les vieux gonds se refermaient derrière eux.
Prison en métal avec une cuve sifflante au milieu.
La faucheuse s'arrêta bien en vue sous un projecteur attendant qu'on lui accorde l'attention qui lui était due.
De toute manière, si ils ne les faisaient pas vite, ils allaient avoir le plaisir de se prendre les deux sauts de faux sangs qui pendaient au-dessus de leurs têtes, dans la figure. Ses camarades cachés derrière de gros tuyaux pour rester invisibles, ne tardèrent pas à activer lesdits sauts. Visiblement, l'envie d'attendre n'était pas présente. Le liquide dégringola, s'écrasant dans un grand "splash" sur les deux participants.
Kwon retint difficilement son rire, attendant que le blond ait fini de s'égosiller dans tous les sens, à deux doigts de s'évanouir, pour pointer une autre inscription en faux sang, cette fois sur la cuve centrale.
"Fouillez et vous gagnerez".
Un vainqueur. Une boite seulement. Dans la cuve.
Entourée de dizaine de corps rampant et sifflant, écailleux et couverts d'écailles. La suite allait être appréciable.
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Messages : 311
Date de naissance : 25/05/2001
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Ven 26 Jan - 23:31
Courir ne suffisait pas, il fallait qu’ils se retrouvent dans un cul de sac à s’enliser dans une situation déjà merdique. Les usages voulaient qu’on ne blâme pas la victime. Chose difficile quand la « victime « avait l’intelligence d’une huitre, le courage d’une poule et la pudeur d’un chien ? Enfin, les chiens avaient beau se lécher les parties génitales, ça leur donnait un côté sympathique. Pas lui.
Danny s’était toujours montré pessimiste et sa mort n’y faisait pas exception. Violente, douloureuse, prochaine. Pourtant, il avait appris à l’accepter. Ce qui n’était pas le cas d’une mort par gosse de riche.
Oh, il voyait très bien de quoi il s’agissait. Vu et revu aux infos, toujours les mêmes commentaires, les mêmes valeurs défendues pour le sacrifié au nom d’une noble cause. Car le riche était toujours celui avec un avenir, des études, un investissement, le plus pauvre n’avait rien de mieux à offrir que sa vie. Avec le temps, le sacrifié n’était plus un servant, simplement un valeureux anonyme, quand sa mémoire n’était pas souillée au profit du riche survivant.
« J’ai tout fait pour le sauver mais la panique a eu raison de lui. Je voulais le sauver, je devrais vivre avec cet échec, on ne peut pas racheter une vie mais j’espère que cette aide contribuera à soulager le deuil de sa famille. »
Payer pour la mort du péon. Encore une stratégie de riche. Danny avait toujours été fasciné par la vitesse à la quelle, avec la bonne éducation, ces spécimens pouvaient passer de la détresse et des larmes à la prétendue réserve pour préserver leur image.
Dès lors, toute compassion qui aurait pu le mouvoir était morte. Pour le garçon tremblant au sol il n’éprouvait que dégoût et pitié.
D’ailleurs, autre chose semblait vouloir capter son attention.
« C’est qui ce mec… Non, pour être autant en manque d’attention, il faut au moins deux chromosomes X. »
Les projecteurs, la cape, l’absence d’autres éléments de décor pour lui voler la vedette. En fin de compte, peut-être que la vermine tremblant au sol ne faisait pas un si mauvais compagnon de cellule. Il aurait sans doute appris à vivre avec, si ça n’avait été pour « ça ».
Il ne s’était passé qu’un instant. Un instant où un rideau sombre était venu obstruer sa vision. Un réflexe salvateur de fermer les yeux et de présenter son avant bras vers le haut, sa tête ne fut pas épargnée pour autant. Ne restait que cette sensation profondément désagréable d’être trempé de la tête à la taille. Son bras particulièrement exposé, il dû avoir recours à l’autre pour s’essuyer les yeux. Voilà que l’autre se mettait à hurler.
Alors il comprit pourquoi. Le rouge difficilement distinguable dans les teintes de gris, sur ses mains, ses bras, son torse et certainement sa gueule toute entière ? Il se figea, soudainement paralysé quand il se rendit compte que quelques gouttes s’étaient frayées un chemin jusqu’à ses lèvres. Il en avait dans la bouche, peut-être même avalé.
« C’est pas du… c’est pas du… cerise ? »
Toujours figé, après la peur venait l’incompréhension. Il avait beau ne connaître que le goût de son propre sang, il doutait que son hémoglobine soit d’un cru particulier. Le sang des autres devait avoir le même goût à peu de choses près ? Alors pourquoi sentait-il un parfum de cerise écrasé par une sensation chimique sur ses papilles ?
Le liquide rouge continuant de goutter de ses cils, le regard du brun se posa à nouveau sur la faucheuse puis le mot au mur. Est-ce que ces conneries s’inscrivaient vraiment dans un jeu malsain ?
Il n’avait aucune garantie, aucune certitude que ce sang était bien faux. Peut-être que le stress avait déformé la perception de ses papilles, peut-être se transformait-il en vampire et son insolence mènerait sa vie à son terme. Mais encore une fois, il préférait mourir stupidement qu’au bénéfice de quelqu’un qui ne retiendrait même pas son nom.
Et Danny détestait être trempé.
Dans le calme, il commença donc par déboutonner sa chemise. Un vêtement mouillé permettait de rester mouiller. Son pantalon n’étant pas complètement imbibé il pouvait le garder. Et miracle, le dos de sa chemise semblait avoir été épargnée. Il prit donc le temps de s’essuyer le visage tandis que son compagnon d’infortune commençait à raser les murs. Puis y passèrent les mains et les zones encore humides de son torse jusqu’à ce qu’il soit enfin suffisamment sec à son goût pour se débarrasser du tissus, faisant fuir au passage quelques reptiles.
« Vous ne préférez pas un numéro de claquettes plutôt ? »
Cette histoire avait officiellement atteint ses nerfs, il était furax et si l’autre semblait se réjouir d’être le seul à fouiller, Danny avait atteint un point où il refusait de collaborer.
« J’ai jamais été doué pour faire ce qu’on me demande. Vous avez regardé mes notes ? »
Techniquement, il était bon élève au lycée mais Rodrick était un cancre.
Danny s’était toujours montré pessimiste et sa mort n’y faisait pas exception. Violente, douloureuse, prochaine. Pourtant, il avait appris à l’accepter. Ce qui n’était pas le cas d’une mort par gosse de riche.
Oh, il voyait très bien de quoi il s’agissait. Vu et revu aux infos, toujours les mêmes commentaires, les mêmes valeurs défendues pour le sacrifié au nom d’une noble cause. Car le riche était toujours celui avec un avenir, des études, un investissement, le plus pauvre n’avait rien de mieux à offrir que sa vie. Avec le temps, le sacrifié n’était plus un servant, simplement un valeureux anonyme, quand sa mémoire n’était pas souillée au profit du riche survivant.
« J’ai tout fait pour le sauver mais la panique a eu raison de lui. Je voulais le sauver, je devrais vivre avec cet échec, on ne peut pas racheter une vie mais j’espère que cette aide contribuera à soulager le deuil de sa famille. »
Payer pour la mort du péon. Encore une stratégie de riche. Danny avait toujours été fasciné par la vitesse à la quelle, avec la bonne éducation, ces spécimens pouvaient passer de la détresse et des larmes à la prétendue réserve pour préserver leur image.
Dès lors, toute compassion qui aurait pu le mouvoir était morte. Pour le garçon tremblant au sol il n’éprouvait que dégoût et pitié.
D’ailleurs, autre chose semblait vouloir capter son attention.
« C’est qui ce mec… Non, pour être autant en manque d’attention, il faut au moins deux chromosomes X. »
Les projecteurs, la cape, l’absence d’autres éléments de décor pour lui voler la vedette. En fin de compte, peut-être que la vermine tremblant au sol ne faisait pas un si mauvais compagnon de cellule. Il aurait sans doute appris à vivre avec, si ça n’avait été pour « ça ».
Il ne s’était passé qu’un instant. Un instant où un rideau sombre était venu obstruer sa vision. Un réflexe salvateur de fermer les yeux et de présenter son avant bras vers le haut, sa tête ne fut pas épargnée pour autant. Ne restait que cette sensation profondément désagréable d’être trempé de la tête à la taille. Son bras particulièrement exposé, il dû avoir recours à l’autre pour s’essuyer les yeux. Voilà que l’autre se mettait à hurler.
Alors il comprit pourquoi. Le rouge difficilement distinguable dans les teintes de gris, sur ses mains, ses bras, son torse et certainement sa gueule toute entière ? Il se figea, soudainement paralysé quand il se rendit compte que quelques gouttes s’étaient frayées un chemin jusqu’à ses lèvres. Il en avait dans la bouche, peut-être même avalé.
« C’est pas du… c’est pas du… cerise ? »
Toujours figé, après la peur venait l’incompréhension. Il avait beau ne connaître que le goût de son propre sang, il doutait que son hémoglobine soit d’un cru particulier. Le sang des autres devait avoir le même goût à peu de choses près ? Alors pourquoi sentait-il un parfum de cerise écrasé par une sensation chimique sur ses papilles ?
Le liquide rouge continuant de goutter de ses cils, le regard du brun se posa à nouveau sur la faucheuse puis le mot au mur. Est-ce que ces conneries s’inscrivaient vraiment dans un jeu malsain ?
Il n’avait aucune garantie, aucune certitude que ce sang était bien faux. Peut-être que le stress avait déformé la perception de ses papilles, peut-être se transformait-il en vampire et son insolence mènerait sa vie à son terme. Mais encore une fois, il préférait mourir stupidement qu’au bénéfice de quelqu’un qui ne retiendrait même pas son nom.
Et Danny détestait être trempé.
Dans le calme, il commença donc par déboutonner sa chemise. Un vêtement mouillé permettait de rester mouiller. Son pantalon n’étant pas complètement imbibé il pouvait le garder. Et miracle, le dos de sa chemise semblait avoir été épargnée. Il prit donc le temps de s’essuyer le visage tandis que son compagnon d’infortune commençait à raser les murs. Puis y passèrent les mains et les zones encore humides de son torse jusqu’à ce qu’il soit enfin suffisamment sec à son goût pour se débarrasser du tissus, faisant fuir au passage quelques reptiles.
« Vous ne préférez pas un numéro de claquettes plutôt ? »
Cette histoire avait officiellement atteint ses nerfs, il était furax et si l’autre semblait se réjouir d’être le seul à fouiller, Danny avait atteint un point où il refusait de collaborer.
« J’ai jamais été doué pour faire ce qu’on me demande. Vous avez regardé mes notes ? »
Techniquement, il était bon élève au lycée mais Rodrick était un cancre.
Danny s'exprime en #339933
Mais ce qu'il meurt d'envie de dire sera en Courier new
Lun 16 Sep - 18:55
Petit UP par ici ?
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Mar 17 Sep - 0:02
Bow and pray to us all for you have been chosen.
Ft. Danny Martel
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C'était assez distrayant.
Voir l'un ramper et crier dans tous les sens - il avait gagné son pari contre Tom d'ailleurs - et l'autre beaucoup plus stoïque avait de côté amuser l'asiatique. La dichotomie entre les deux personnages rendait la scène encore plus hilarante, digne d'une comédie d'horreur. D'ailleurs, Roderick ne semblait pas plus perturber que ça par tout ce qui était en train de se passer. C'était un peu décevant au final : c'est quoi ce contrôle de soi ? Il venait de se prendre un saut dégueulasse sur le coin de la gueule, trainer après un kidnapping en pleine nuit dans une bâtisse en ruine et devait faire face à des tonnes d'écailleux remuant dans tous les sens et lui ... il était calme. Juste là.
Peut-être même un peu agacé.
Ça, ça lui plaisait moyen à Kwon qui fronçait déjà le museau derrière son masque en tissu. Si on ne peut plus s'amuser.
- Vous ne préférez pas un numéro de claquettes plutôt ? J’ai jamais été doué pour faire ce qu’on me demande. Vous avez regardé mes notes ?
La faucheuse écouta à moitié, trop occupée à reluquer le déshabillage du brun sans aucune race. Il était bien connu de tous et de toutes que Kwon avait un appétit pour la chair humaine - entière - un peu trop insatiable. Tant que ça bouge.
L'autre blondinet commençait déjà à fouiller dans les serpents - ou plutôt, essayait - mais ça, ça ne lui plaisait que moyennement parce que putain y en avait quand même un peu plus intéressant que l'autre.
- Kwon. Kwon. Putain Kwon arrête de mater.
Les chuchotements émanant de l'arrière des tuyaux lui firent tourner la tête.
- Le résultat du match ne me convient pas.
Sans déconner. Tom tira une gueule qui pouvait s'apparenter à une moue pleine de réprimandes mais déjà, la faucheuse se retournait vers ses deux victimes.
- Celui qui perd sera enfermé ici jusqu'à ce que le gardien passe. Mardi prochain.
On était mercredi. Quasiment une semaine fourrée là-dedans et incapable de s'échapper, y avait de quoi se mettre à bouffer des rats et devenir fou. Ils étaient bien trop loin de la ville pour qu'on les entende crier, c'était pour ça que la bâtisse était un terrain de choix pour les bizuteurs.
- Tic tac.
Allez bouge toi, montre nous ce que t'as dans le ventre.
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SIAL
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