* Un lien en rapport avec le boulot ; ça ne va pas être jouasse, selon toute vraisemblance, mais ça se pose là côté « centre d’intérêt commun ».
Pour rappel, je ne fais pas QUE découper des mecs. J’examine les personnes en lien avec un procès, je suis un peu l’alter ego du psychiatre qui détermine votre capacité de nuire ou la hauteur de votre traumatisme, moi je vais parler type de blessure, résultats de changement de sexe, capacités athlétiques… C’est très vaste, on n’est pas forcément sur du procès d’assises avec macchab à la clé.

Ou ça peut être votre boulot. Je ne suis plus tout jeune, j’ai des rendez-vous médicaux de temps en temps, pour vous donner une idée. J’ai des potes qui sont peut-être vos potes. Je fais mes courses, le plein d’essence… je traîne au bord de la mer... je me laisse traîner au musée, au ciné, aux galas de charité, à la kermesse de l'école du quartier... Je vis, quoi, comme tout le monde.

* Un lien en rapport avec les quatre chats : le vieux mou Toothpaste (roux), le pot de colle copy/paste (gris), le morfale Antipasti (blanc), le chaton mal foutu Creepypasta (noir).

Vous pouvez être vétérinaire, en récupérer un qui s’est coincé en haut d’un arbre ou a vadrouillé jusqu’à votre lucarne, vous pouvez venir vous plaindre qu’il a posé une souris crevée devant votre porte, ou l’esquiver de justesse avec votre voiture… le potentiel de nuisance de ces petites frappes est infini. Le vôtre aussi, j’en suis certain.

* Un lien de votre cru qui tiendrait par exemple à mes petites bizarreries et au fait que vous y êtes sensible. Je ne sais pas, le langage, un tatouage, la musique, les grands manteaux noirs. Si on m’adresse la parole dans la rue, je réponds. Pas aimablement à chaque fois, mais je ne suis pas contre une bonne petite engueulade histoire de briser la glace, ça n’empêche pas d’être amis après.

Je me fais les festivals de musique s’il y en a dans le secteur, les concerts dans les bars… bonne musique, je veux dire. Si votre bagnole pompe de la grosse bouse techno à cent vingt décibels devant chez moi, on ne va pas s’entendre. Littéralement. Cela dit, ça peut être marrant comme point de départ.

Comme par exemple, Roll the die avec Dahlia, où j'essaie de méditer tranquille sous une église totalement normale, et je rencontre un squatteur japonais amnésique avec un nom de plante verte. Ce genre de chose m'arrive trop souvent.

Ou encore, This isn’t Mexico, it’s reality avec mes amis de la flicaille, où nous causons poisson pas frais sur une plage un peu trop festive à mon goût.

Premier arrivé, premier servi ! Venez squatter ce magnifique SUJET LIBRE où je me retrouve paumé au milieu d'une convention de jeu vidéo, déguisé en Witcher. Du fun pour toute la famille !