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C O N T R A S T E
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LIFELAM...Quel nom étrange pour une ville occidentale ! Nous sommes nous trompés d'endroit ? Mon GPS a-t-il un problème ? Détrompez-vous, vous êtes exactement là où vous souhaitez être... Gare où vous mettez les pieds et avec qui vous vous liez d'amitié. Votre existence sur cette île pourrait être lumineuse et heureuse comme beaucoup plus sombre et dramatique..."
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Bonifacio Castelli
Survivant de l'Escape Game Halloween 2021
Jeu 9 Mar - 17:40
Toucher du bois


La poussière subsiste dans les traits de lumière. Blonde, aérienne. Quand les employés partent à la fin de la journée, le chantier bruyant redevient une simple maison.

Bone oublie de boire le café qu'il a entre les mains. Il s'est adossé à l'îlot central, contemple désormais, dans le calme plat d'une après-midi évidée de sa substance, l'étrange patient en chirurgie à coeur ouvert qu'est devenue sa demeure.

Des insectes.

C'est ça, la maladie. L'Italien préfère les surnommer des saloperies plutôt que de leur accorder leur joli nom latin. Elles grugent le bois, se creusent des tunnels minuscules dans toute la structure.

Le plâtre a été arraché, les poutres mises à nues. L'extermination est terminée. Il reste désormais le squelette décharné de la maison, sur tous les étages. Pâle, affaibli par endroit par plein de petits poinçons dans le bois. Une gangrène qui a brusquement cessé sa progression. Il faut désormais amputer. Remplacer les membres atteints.

Le professeur regarde l'heure sur sa montre. 16h05. Les charpentiers qu'il attend pour une consultation ne devraient plus tarder.

Il prend une gorgée de son café. Tiède. Il jurerait même qu'il goûte la sciure de bois. Mais c'est dans l'air.

C'est pas une odeur désagréable du tout. Ça sent l'à vif, l'aride, la forêt éteinte.

Ça toque. Bone se redresse, dépoussière ses pantalons et va ouvrir. Le cocontractant entre. Échanges cordiaux. Au compte goutte, sa petite équipe apparaît dans la cuisine.

Le maître charpentier lui fait un exposé de ce qu'ils vont faire pour leur tour de reconnaissance, ils échangent une ou deux blagues sur l'état de la maison, Bone propose un café, non merci, mais c'est très gentil…

Mais l'Italien a arrêté d'écouter. Le coin de son oeil a capté, dans l'angle, la forme d'une aura familière. Il faut une longue seconde de sidération avant que les branchements se fassent correctement.

Hugo.

Là, qui entre dans sa maison comme sur n'importe quelle autre aire de travail - Hugo, avec son profil coupé à la serpe, son air toujours un peu fatigué, teigneux, ailleurs. Il a poussé. Ou alors ce sont les bottes de chantier qui le grandisse.

ha- !

Bone sursaute comme l'homme en face de lui, revient sur terre juste avant d'avoir pu croiser le regard du brun - comme si cela pouvait infirmer son identité. Il a renversé du café sur la cuisse du charpentier.

Mierd- !, pardon, je suis d…
Vous inquiétez pas, c'était pas chaud.

Putain. Le professeur fait le tour du comptoir en trois enjambées et attrape un linge à vaisselle pour le lui tendre. L'homme plaisante, visiblement de bonne humeur et pas très incommodé par les "aléas du chantier". Bone ose un regard bref par-dessus l'épaule de son cocontractant ; il attrape les épaules larges d'Hugo, monte encore, caresse la courbe de sa mâchoire.

Il sent ses yeux sombres passer sur les paupières des siens.

Bon je vais faire un petit inventaire des dégâts, et on parle ensuite, vous permettez ?

Bone doit grommeler une réponse, des indications, quelque chose, et le maître charpentier s’éloigne. Il sent son pouls dans sa gorge. Les employés s’éparpillent dans la maison, et le professeur sort par la porte patio en attrapant sa veste, évitant méticuleusement de regarder par où Hugo se dirige. Les masques ont été décrochés du mur. Ils reposent dans une large boîte de carton, au pied des fenêtres. L’un d’eux semble se moquer de lui, quand il passe devant.

Dehors, l’italien s’allume une cigarette en inspirant profondément. L’air lui pique la peau. C’est qu’un gamin, qu’il se répète. Et c’était rien. Presque. Faut vraiment qu’il se calme.

Vraiment, Bone ne sait pas ce qui le déstabilise le plus ; la présence du jeune ou sa propre réaction. Dans le doute, il bouillonne, le regard dur rivé sur les haies entourant le jardin. Il y a visiblement toujours un truc pour le faire chier davantage à Lifelam. Vu son humeur de merde, pas étonnant que son mariage n’est pas tenu. Ni même sa dernière relation avec Annabelle.

Ça n’a, évidemment, strictement rien à voir avec son orientation sexuelle.





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Bonifacio Castelli
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Le Beau-de-l’air de Lifelam - Juin 2021
Lun 27 Mar - 11:20
L'apprentissage. C'était une nouvelle étape dans la vie d'un Hugo trop désorienté pour savoir quoi faire du reste de ses jours. De son avenir professionnel, de son avenir tout court en fait.
La liste de ses relations avait de nouveau diminué. Ça ne l'avait pas inquiété plus que ça, car la consistance de l'objet n'était pas quelque chose que le cerveau retardé du polonais semblait avoir intégré.
Les visages qu'il croisait, il les oubliait instantanément. Il lui fallait généralement quelques rappels pour commencer à se souvenir de l'esquisse d'un prénom. Et puis quand c'était fait, il arrivait souvent que ces gens disparaissent pour les mêmes raisons qui font que la vie est composé d'une multitude de visages.

De Lifelam, Hugo n'avait retenu que quatre noms : papa, Logan, Jinzo quoique celui-ci commençait à devenir fantôme sous les entremêlements de branches qu'étaient ses neurones et Bunny. Après réflexion, ce prénom ne devait pas être l'original. Quel parent serait assez cruel pour appeler son enfant comme un animal aussi fragile ?
Un nouveau allait pouvoir très bientôt s'ajouter à la liste : Pablo.
Pablo, c'est son nouveau maître de stage ou plutôt son nouveau boss. Un cousin d'un des seuls professeurs qui avait saisi la complexité boueuse qu'était Hugo. Et puis, quand il est occupé, il est calme. Alors il l'avait collé en charpenterie et puis basta. Ce n'était pas comme si le gamin allait répliquer quoique ce soit.

C'est donc tout naturellement qu'il le suivait partout comme le bon petit chien qu'il était. Hugo le canidé. Hugo le bulldog. Non. Quelle race de chien lui correspondait ? Il ne sait pas. Il ne saurait dire. Il faudrait demander à Logan. Ou faire un de ces tests stupides sur internet. Oui. C'est mieux.
Non.
Pas le temps internet, pas le temps et puis maman ne veut pas qu'il touche à l'ordinateur et ça ne sera pas accessible depuis la bibliothèque. Mais ce n'est pas les chiens auxquels on s'intéresse là, mais à la vermine. Les mêmes petites bêtes qui grouillaient sous la peau d'Hugo, dans son estomac, qui rampaient contre sa gorge en s'attaquant sans vergogne à ses cordes vocales. Ces petites bêtes qui avaient été exterminé et qui laissaient derrière elles un cadavre maladif, une charpente sans brillante, rongée et affaiblie. Un corps dont les soignants qu'étaient Pablo et lui devaient s'occuper.

La maison, il l'a connaissait mais n'y prêtait pas attention davantage. Quand quelque chose est fini, c'est acté dans la tête du jeune homme : Bone avait exprimé qu'il n'appréciait pas sa vue alors il ne lui imposait plus. Sa copine était très gentille mais tout pareil, pas revue depuis lors. Pas cherché. Pas besoin.

- Mierd-!

Le jeune n'a même pas pris la peine de se retourner, plongé dans son travail d'inspection et dans les enseignements du charpentier de la veille.
Pas de cri égal pas de grosse blessure donc pas besoin de son aide. Hugo a appris depuis longtemps qu'il était plus encombrant qu'autre chose dans ce genre de situation.
Les quelques gars qui les ont rejoint entre temps s'éparpillent dans les pièces, tandis qu'il est rejoint par son maître de stage. Le grand gaillard, doux comme la brume, a bien compris que toucher le brun n'était pas la meilleure idée du monde, même si son premier réflexe est de poser une main paternelle sur son épaule. Mais il retient son geste au dernier moment et engage la conversation. Des questions, des réponses : tout est correct.

- Tu vas aller faire le rapport à monsieur et lui expliquer ce qu'il faut faire, ce qu'on va d'voir faire ok ?

Ça l'entraînera le p'tit. Parce qu'il ne suffit pas d'être bon avec ses mains, il faut savoir être bon avec le client aussi. Ça déplaît à l'élève, ça se voit au mince froncement qui abime son nez. Mais il ne rechigne pas verbalement, tourne les talons pour marcher dans la direction de Bunny.

- Pablo dit que je dois faire le rapport. Commence-t-il en braquant son regard inapproprié dans le sien. Garder le contact visuel. Un. Deux. Trois. Montrer autre chose. Il apprend lentement, difficilement mais il apprend. La charpente a été rongé à 32%. C'est beaucoup, faut changer certaines poutres et des angles. Faut aussi limer ça, il montre celles au-dessus de lui, Minimum. On mettra des aplats en métal pour renforcer la structure. Mais après on recouvrira pour pas que ce soit moche.

Ça débite en comptant dans sa tête les secondes de contact visuel trop franc et même carrément maladroit et les autres.

- T'as des questions?

Franc et direct, le jeune chien regarde déjà en arrière pour vérifier où il va aller après. C'est comme s'il l'avait complètement oublié et qu'il s'adressait à un étranger. Quoique l'absence d'effort lié au tutoiement le trahit quelque peu.


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Bonifacio Castelli
Survivant de l'Escape Game Halloween 2021
Mar 16 Jan - 2:58
Toucher du bois


Il fume rapidement. Chaque fois que ses pensées s’égarent, il les harnache d’un geste ; sa main monte, ses poumons se contractent, ses paupières s’abaissent. Il se demande s’il ne va pas en fumer une autre, d’ailleurs. Ce n’est pas par envie. C’est pour avoir une raison de ne pas retourner immédiatement à l’intérieur. Pour ne pas croiser Hugo.

Sauf que c’est le jeune qui vient à lui. Certainement pas par envie non plus. D’ailleurs, on dirait que c’est la première chose qui, avec les paroles du brun, se précise entre eux : Pablo dit que je dois faire le rapport. Bone regarde droit devant, comme s’il l’ignorait. S’il avait été plus jeune, lui aussi, il aurait soufflé un rire cynique. Il était plus arrogant, avant. Plus belliqueux. Maintenant, il est juste amer, et fatigué.

L’italien inspire une bouffée, fini par planter ses yeux dans ceux du gamin. C’est ça qu’il continue de vouloir croire ; que c’est un gamin. Sauf que c’est pas le regard d’un pauvre gosse qu’il croise. Les yeux sombres d’Hugo le clouent là. L’obligeraient presque à demander pardon, ou à se taire.

Hugo regarde ailleurs, puis commence ses explications. Le professeur, il écoute pas vraiment. Il réalise juste qu’il a un léger vertige. Charpente. Changer des poutres. Aplats. Il acquiesce avec lenteur en expirant la fumée, errant dans la tonalité rauque de la voix d’Hugo. Ses mots sont scriptés. Mais jamais leur timbre.

T'as des questions?



Bone, pris dans la contemplation de son visage. Il se reprend, détournant le sien et portant à nouveau la cigarette à ses lèvres. Elle a fini de se consumer. Avec un petit geste de dépit, il la jette au sol. Ce geste semble briser l’enchantement.

T’as l’air en forme.

C’est pas sarcastique. C’est tellement honnête qu’il n’arrive pas à le regarder de nouveau. L’italien fixe le filtre vide, à leurs pieds, silencieux, avant de se souvenir qu’Hugo prend toutes les phrases au sens premier de leur expression. Ce qui se veut un début de conversation, une banalité qui sous-tend l’envie d’être avenant, sera sans nul doute perçu par le brun comme… la plate évidence dite par homme un peu stupide.

Alors ça lui craque un sourire, à Bone. En coin de bouche.

Il relève les yeux.

Je voulais m’excuser, tu sais. Il met les mains dans ses poches, inspire très légèrement. Pour ne pas paraître trop vulnérable. Je veux m’excuser.

Et parce que c’est Hugo en face de lui, il faut préciser. Parce que le punk, il va pas chercher vraiment plus loin que ce qu’on lui dit ; c’est bien sa veine, à Bonifacio - il est obligé de parler, de parler franchement, et ça le rend inconfortable.

Tu sais, pour… la dernière fois. Pas quand ils se sont croisés, avec Anabelle. La dernière fois que t’es venu ici. Pour leur altercation.

Il lâche enfin ses yeux, recourbe l’échine. Il fait mine que c’est pour s’allumer une autre clope avant tout. La flamme du briquet jaillit un instant dans le jour qui décline.

Enfin bref. C’est d’accord pour… tout ça, là - Bone fait un geste vague de la main, secoue la tête en prenant une longue et profonde bouffée de nicotine - les changements de poutres, les aplats de métal. Et non, j'ai pas de questions pour l'instanat. C’est vous les pro, j’y connais rien là-dedans. C’est pour ça que je suis prof de litté.

Sa tête est lourde et légère à la fois. Son ventre crispé.

Peut-être qu’Hugo s’en fiche, de tout ça. De lui. Et que c’est juste dans sa tête, depuis le début. Mais au moins, il aura bouclé la boucle. C’est ça, il aura bouclé la boucle… la nicotine n’a pas aussi bon goût que d'habitude sur sa langue.




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Le Beau-de-l’air de Lifelam - Juin 2021
Sam 20 Jan - 20:46
Il l'écoute à moitié, l'autre.
Puis surtout il fume et la fumée ça pue.
Hugo essaye de ne pas trop froncer le nez mais la mauvaise odeur le fait reculer d'un demi-pas. Pas trop pour ne pas avoir l'air indiscret mais quand même c'est dégueu' cette merde et il ne peut pas vraiment s'empêcher de le montrer.
Mais bon, tant bien que mal il termine son speech ; look at his eyes, franc et attend. Même s'il trépigne parce que quand même, ça pourrait être fait plus rapidement mais le propriétaire des lieux ne semblent pas prêt à sauter sur l'occasion de répondre dans la seconde.

Quand enfin Bonifacio ouvre la bouche, c'est pour sortir une affirmation qui n'a rien à voir avec la conversation.
Les yeux d'Hugo suivent le flambeau mort s'écrase sur le sol, juste parce que le mouvement l'a attiré.

- Oui.

Il était censé dire quoi d'autre devant cette affirmation ?
Comme toujours, le jeune adulte sent que des choses sont dites en sourdine et lui échappe. Ça le titille toujours un peu, cette impression d'être à demi-sourd aux paroles d'autrui. Le temps arrange le malaise que ça crée dans son ventre en le remplaçant par de l'ignorance.

- Je voulais m’excuser, tu sais. Je veux m’excuser.

Il a souri un peu, sans le regarder vraiment. Mais c'est toujours pareil, le chien ne sait pas s'il se moque de lui, s'il est sérieux, s'il y a un double sens qu'il ne comprend pas. Quoiqu'il entend et comprend le mot "excuse" même si la raison de sa présence dans la phrase reste... indéfinie pour lui.

- Ok.

Excuser pour quoi ?

- Tu sais, pour… la dernière fois. La dernière fois que t’es venu ici.

Ah, ça lui dit vaguement quelque chose mais en même temps ça parait si loin maintenant qu'il n'en est pas sûr. Le regard du brun s'arrête sur son maître de chantier qui discute avec les gars, plus loin. Personne ne se demande pourquoi il prend autant de temps à remettre son rapport à commanditaire. Personne ne s'inquiète du trop grand nombre de mots échangés. Personne ne remarque, alors Hugo tente un trait d'esprit et de sociabilité.

- Elle va bien la fille? Celle qui est gentille.

Pas Elisabeth. Pas qu'Elisabeth n'est pas gentille. Mais il ne l'a pas vu depuis le début du chantier donc peut-être qu'elle est en vacances ? Ou qu'elle s'est fait renverser par une voiture.
Dans les deux cas, il ne serait pas au courant.
Même si le prof' a donné son accord pour les travaux, il attend quand même sa réponse avant de se barrer comme un voleur. Parce que quand on est poli on écoute les réponses qu'on nous donne et puis, s'il ne voulait pas l'avoir il n'avait qu'à pas poser la question, non ?
non ?
si oui c'est ça.
C'est très bruyant ici.
Hâte de partir
La visseuse l'agresse il aimerait etre dehors mais dehors avec son chien dehors pres de la plage dans le sable avec pearly son chien parce que pearly est la plus belle chose du monde meme depuis qu'elle boite.

- Je comprends pas tes signaux et on parle la même langue parce que tu n'es pas un chien donc il faut être clair si tu veux me dire quelque chose.

Ça sort d'une traite. Les signaux réactionnels de Bone sont aussi confus que ceux d'une créature inconnue.


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